La 47e édition du Paléo Festival a débuté ce mardi, à Nyon. L’humoriste Benjamin Décosterd y était, pour une chronique en immersion dans le milieu culturel romand.

Emmanuel Macron a tort de penser qu'il gagnera la partie politique à la sortie de l'été, sans avoir rien lâché. Dans le marathon qu'il impose à la France, ses opposants pourraient bien être plus tenaces qu'il ne le pense.

Pour cette chronique, la conseillère nationale libérale-radicale (PLR) Jacqueline de Quattro revient sur la Genève internationale face aux critiques du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) – qui se trompe une nouvelle fois de combat, selon la Vaudoise.

Montreux Jazz ou Paléo? Taylor Swift ou Booba? L’Abbé Pierre ou l’Abbaye de St-Maurice? L’humoriste Benjamin Décosterd ne répond pas à toutes ces questions, à quelques jours de reprendre du service pour Blick.

Quentin Mouron était à Paris le jour du deuxième tour des législatives. Il livre ses vues sur l’issue du scrutin, et conteste l’idée que le barrage contre l’extrême-droite serait un déni de démocratie. Au contraire, il est un signe de sa vitalité.

Le président français vient d'obtenir sa première victoire post-dissolution avec l'élection au «perchoir» de Yaël Braun-Pivet. Il va donc poursuivre sa stratégie du tout sauf le RN et LFI. Au risque des fractures républicaines, craint notre journaliste.

Dans sa chronique, le conseiller national socialiste genevois Christian Dandrès revient sur les abus des bailleurs en Suisse et soutient l'initiative lancée par l'ASLOCA pour limiter la hausse excessive des loyers.

Ressentiment fiscal, rejet des «assistés», les indépendants, artisans et petits patrons décrient cette gauche qui veut «leur faire les poches». Car les politiques sociales échouent systématiquement à les protéger. Alors, ils y font barrage.

Les tirs contre l'ancien président américain doivent d'abord être commentés dans le contexte de la campagne aux États-Unis. Mais ils en disent aussi long sur la montée irrépressible de la colère dans nos démocraties

Le fonds AVS est désormais géré par la banque américaine State Street. Une hérésie, selon notre chroniqueuse Céline Amaudruz. La conseillère nationale UDC regrette qu'aucune institution suisse ne puisse prendre cette responsabilité.