La Kamalamania a-t-elle de nouveau fait place, dans les médias américains et internationaux, à une nouvelle Trumpmania? Notre expérience des Etats-Unis, depuis le 10 octobre, montrent en tout cas que les Américains ne croient plus aux prédictions médiatiques.

Beatrice Keul, une mannequin zurichoise, affirme avoir rencontré Donald Trump dans les années 1990. Ce dernier lui aurait tendu un piège pour l'agresser sexuellement. Une version contestée par la porte-parole de la campagne du candidat républicain.

L'ex-président américain Donald Trump a tenté d'exploiter mercredi une gaffe de l'actuel chef d'Etat Joe Biden sur ses électeurs en se mettant en scène dans un camion-poubelle. La présidentielle de mardi s'annonce comme l'une des plus serrées de l'histoire américaine.

Arnold Schwarzenegger, ancien gouverneur républicain de Californie, annonce voter pour Kamala Harris, furieux contre Donald Trump. Il critique Trump pour son comportement antiaméricain et appelle à un changement.

Pete Frey est installé depuis plus de dix ans à New Bern, la Nouvelle Berne de Caroline du Nord. Camaria Valentin y est l'unique reporter du «New Bern Sun Journal». Et tous deux, effrayés par la présidentielle du 5 novembre, rêvent d'une autre Amérique.

Kamala Harris ne pouvait pas tirer plus fort sur Donald Trump. Son discours de mardi 29 octobre, depuis l'Ellipse face au Congrès, a été entièrement consacré à l'assaut du 6 janvier 2021. Pendant que Joe Biden, lui, traitait les électeurs de Trump «d'ordures».

A une semaine de la présidentielle américaine, Kamala Harris a accusé son rival Donald Trump de vouloir «un pouvoir sans limite». Elle s'exprimait à l'endroit même où l'ex-président avait harangué ses partisans le 6 janvier 2021 avant qu'ils n'attaquent le Capitole.

J-7 avant la présidentielle du 5 novembre aux États-Unis. A Savannah, en Géorgie, l'enjeu pour les démocrates est de mobiliser leur électorat. Il y a quatre ans, Joe Biden l'avait emporté de 12'000 voix. Reportage aux côtés de Tim Walz, le colistier de Kamala Harris.

Le candidat républicain à la Maison Blanche a provoqué une consternation mondiale après son meeting du dimanche 27 octobre au Madison Square Garden de New-York. L'insulte est devenue son registre électoral préféré. Pourquoi? Parce que ça marche.

L'ex-président américain Donald Trump s'est défendu lundi d'être un nazi affirmant même être «le contraire d'un nazi». Des polémiques enflent depuis plusieurs jours autour des penchants potentiellement autoritaires du candidat républicain à la Maison-Blanche.