A la veille des élections, les électeurs des swing states sont inondés de publicité. Au cœur de tout cela: le discret Super PAC Future Forward, qui a récolté 700 millions de dollars pour la campagne de Kamala Harris.

Et si Joe Biden, 81 ans, démissionnait avant la fin de son mandat. La rumeur enfle à Washington à deux semaines de la présidentielle du 5 novembre. Rumeur, ou scénario envisageable?

Kamala Harris accuse Donald Trump d'être un fasciste à moins de deux semaines d'une élection tendue. Elle prévoit un réquisitoire final contre lui à Washington, soulignant le chaos et la division de son rival républicain.

Stacey Williams, 56 ans, accuse Donald Trump de l'avoir agressée en 1993 à New York, rapporte le «Guardian». Les faits se seraient déourlés dans la Trump Tower, lors d'une rencontre organisée par le financier et criminel sexuel américain Jeffrey Epstein.

Kamala Harris livrera un «réquisitoire final» contre Donald Trump mardi à Washington. Ce discours revêtira un fort caractère symbolique, puisqu'il sera prononcé à l'endroit même où l'ex-président avait appelé ses partisans à marcher vers Capitole le 6 janvier 2021.

Elon Musk, soutien de Donald Trump, risque des amendes, voire plus, pour sa loterie d'un million de dollars visant les électeurs de sept États clés. Le ministère de la Justice rappelle que cette pratique est illégale et passible de sanctions.

Après des propos controversés de Donald Trump sur Adolf Hitler, Kamala Harris accuse le candidat républicain à la Maison Blanche de chercher un pouvoir absolu et de devenir de plus en plus dérangé.

L'ancien chef de cabinet de Trump, John Kelly, a dévoilé des déclarations explosives qu'a tenues l'ancien président. Il affirme que Trump aurait salué des actions d'Hitler. Il a également qualifié Trump de fasciste.

Je suis depuis deux semaines sur les routes américaines. En camping-car, donc bien placé pour entendre parler les Américains ordinaires. Mon constat: Donald Trump doit être jugé sur les faits. Et ils ne sont pas tous inquiétants.

Lors d'un rassemblement au New Hampshire, Biden a utilisé le slogan de Trump contre lui, provoquant des réactions immédiates de la campagne républicaine.