La 13e rente AVS devrait coûter 4 à 5 milliards de francs par an. Si l'on en croit les directeurs financiers de notre pays, cette prestation ne poura être financée que si les gens travaillent plus longtemps en contrepartie.

Le versement de la 13e rente AVS doit être «quelque chose de spécial». C'est pourquoi elle doit être versée en une seule fois à la fin de chaque année. C'est ce que demande le conseiller aux Etats UDC Jakob Stark dans une intervention.

L'ancien conseiller aux Etats Paul Rechsteiner souhaite financer la 13e rente AVS avec les excédents de l'assurance-chômage. Mais les partis bourgeois s'y opposent. Le président de l'UDC Marco Chiesa le dézingue.

Les retraités recevront un coup de pouce à partir de 2026. La Suisse a dit clairement oui à une 13e rente AVS ce dimanche. Le bras de fer sur le financement de ces rentes plus élevées commence dès aujourd'hui.

La votation sur l'initiative pour une 13e rente AVS est plus indécise que jamais. Mais une chose est sûre: la population se sent concernée par ce scrutin. En effet, une forte participation se dessine. Mais à qui va-t-elle profiter?

La votation sur la réforme de l'AVS avec le relèvement de l'âge de la retraite des femmes a divisé les femmes et les hommes comme jamais auparavant. Avec une différence record de 26 points de pourcentage entre les deux sexes, selon l'analyse Vox de vendredi.

Les Suisses ont voté ce dimanche sur la suppression de l'impôt anticipé, voulue par la droite et attaquée par un référendum de la gauche. L'argument des pertes fiscales, qui s'élèveraient à 800 millions par an selon les opposants, a faire mouche.

Les femmes vont devoir travailler jusqu'à 65 ans: les deux derniers quartiers zurichois qui manquaient ont finalement communiqué leurs résultats. L'écart définitif s'élève à 32'316 suffrages, soit un peu moins que la population de la ville de Fribourg ou 0,57% des voix.

Pour la première fois depuis trois décennies, un objet relatif aux retraites a été accepté par les Suisses: un double oui pour l'AVS est sorti des urnes, ce dimanche. Il s'en est fallu de quelques milliers de voix, au grand dam de la gauche qui exigent déjà des mesures.

Des militants antispécistes ont mené une action-choc dans le cadre de la campagne sur l'initiative populaire «Non à l'élevage intensif», samedi à Lausanne. Ils tenaient des poussins morts dans leurs mains gantées, pour donner à voir «l'affreuse réalité de l'élevage».