Me mettre en avant n’est pas mon truc. C’est en partie pour cela qu’en journalisme, je reste volontiers dans l’ombre (à l’édition, pas sur le terrain) et que je préfère relire, vérifier, voire compléter les textes des autres, plutôt que d’en signer. C’est là aussi que mon côté éclectique et «joueur d’équipe» est le plus utile.
Pétri de contradictions, je suis un «secondo» à l’accent vaudois, voyageur mais viscéralement attaché à mon coin de Suisse, polyglotte mais maniaque du français, j’apprécie le jazz ET le rock, les lettres ET les sciences, la raclette ET la fondue, le basket ET le foot, etc... Curieux, j’aime découvrir, comprendre, apprendre, et voir sourire mon enfant.