Chaque fois que j’explique que je suis journaliste série, on me demande deux choses. D’abord, si c’est un vrai métier. Ensuite, si je n’ai pas quelques épisodes géniaux à conseiller. Et justement, pour Blick, j’aimerais répondre aux deux questions. Montrer que les séries, aujourd’hui, sont un miroir du monde. En parler, c’est forcément s’intéresser aussi à la politique, la société ou l’économie (et parfois le porno ou les serial-killers, certes). Et puis à l’heure où les séries sont produites aussi vite que les clichés dans «Emily in Paris», j’espère bien vous faire découvrir quelques pépites.