Actuellement, de nombreux partisans du don d’organes pensent qu’avec le référendum de l’an dernier, l’expression de la volonté n’est plus nécessaire. «Elle reste cependant centrale», a signalé mercredi Franz Immer, directeur de Swisstransplant.
Et même avec l’application du consentement présumé au sens large, «le fait de connaître le souhait de la personne décédée est un grand soulagement», a-t-il dit.
Le 15 mai 2022, le peuple suisse approuvait le principe du consentement présumé pour le don d’organes. Ainsi à l'avenir, toute personne sera en principe considérée comme donneuse, sauf si elle a précisé de son vivant qu'elle ne le voulait pas.
La mise en oeuvre de cette révision de la loi se fera au plus tôt en 2025, a signalé Swisstransplant. 1400 personnes attendent un don en Suisse.
(ATS)