En Suisse, les adultes passent en moyenne 2h30 par jour sur leur téléphone et jusqu’à 4 heures pour les jeunes de 12 à 19 ans. Si ces chiffres impressionnent, ils interrogent aussi: à partir de quand ces usages deviennent-ils problématiques? Et surtout, comment trouver un équilibre sain face à ces outils indispensables, mais souvent chronophages?
Un usage quotidien à double tranchant
Le smartphone est aujourd’hui bien plus qu’un simple téléphone. Il centralise nos communications, notre accès à l’information, et même nos loisirs. Mais cette polyvalence a un revers. «Les écrans deviennent problématiques lorsqu’ils nous font négliger nos obligations professionnelles ou scolaires, nos relations sociales, ou même nos besoins élémentaires comme le sommeil et l’activité physique», explique Niels Weber, auteur de «Les écrans, je gère» aux Éditions Magenta.
Selon lui, l’enjeu principal réside dans la manière dont les réseaux sociaux, jeux vidéo et plateformes de streaming captent notre attention: «Ces services mettent en place des mécanismes de rétention extrêmement puissants, conçus pour prolonger notre temps d’utilisation.» Toutefois, il insiste: on ne parle pas d’addiction au sens médical du terme, car les écrans ne provoquent pas de symptômes physiques de manque.
Quand faut-il s’inquiéter?
Pour Niels Weber, il est essentiel d’observer les conséquences d’un usage excessif des écrans: «Une personne peut ressentir de la culpabilité à privilégier son téléphone à d’autres activités importantes, tandis que ses proches peuvent souffrir de son absence physique ou émotionnelle.»
Un exemple parlant: un étudiant qui passe son temps sur les réseaux sociaux au lieu de réviser. Est-ce par manque de discipline ou pour éviter l’angoisse liée aux examens? Dans ce cas, le smartphone agit comme un mécanisme d’évitement qui apaise à court terme, mais qui peut mettre en péril ses objectifs à moyen terme.
Les conséquences indirectes sont également préoccupantes: la sédentarité, la réduction des interactions sociales réelles, ou encore l’impact sur la santé mentale. «Avant de se connecter, il faudrait d’abord avoir accompli ses besoins essentiels: bien dormir, s’alimenter correctement, faire de l’exercice, et nourrir ses relations. Cela permet de placer l’écran dans un cadre plus sain», recommande le psychologue.
Le rôle clé des parents
Si les adultes peinent parfois à maîtriser leur propre usage, qu’en est-il des enfants? En Suisse, 50% des enfants de 10 ans possèdent déjà leur propre smartphone. Pourtant, ce n’est pas toujours l’âge idéal. «Ce n’est pas tant l’âge qui compte, mais la maturité et la capacité de l’enfant à comprendre les enjeux d’un outil connecté», souligne Stéphane Koch, expert en sécurité numérique.
Les parents jouent un rôle essentiel dans cet apprentissage. Ils doivent évaluer les besoins réels de leur enfant: communication, sécurité, pression sociale. Il est important de poser des règles claires: combien de temps d’écran, types d’activités autorisées et de maintenir ses loisirs en extérieur. Une charte familiale peut aider à formaliser ces engagements et à responsabiliser l’enfant.
Dans un monde où les smartphones rythment nos journées, disposer d’un abonnement adapté à ses besoins est essentiel pour un usage optimisé et sans stress.
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Trois conseils pour reprendre le contrôle
Niels Weber propose quelques astuces simples pour mieux gérer son temps d’écran:
- Fixer des objectifs communs: En famille ou en couple, se mettre d’accord sur des limites favorise une prise de recul collective et allège la pression individuelle.
- Émettre une intention claire: Avant de se connecter, définir un objectif précis, comme consulter des nouvelles ou interagir avec des proches, permet d’éviter les dérives vers des contenus inutiles.
- Utiliser un minuteur: Beaucoup d’applications intègrent des fonctionnalités pour limiter leur utilisation. Activer ces outils est un premier pas vers une gestion plus consciente.
Retrouver un équilibre
Le smartphone n’est pas l’ennemi, mais il doit rester un outil au service de notre bien-être. «Il ne s’agit pas de diaboliser les écrans, mais de les utiliser intelligemment, dans le respect de nos besoins personnels et sociaux», conclut Niels Weber.
*Contenu inspiré d'articles du magazine C'net, © net+
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
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