Manque de confiance, travail à temps partiel ou absence de modèles féminins: de nombreuses femmes font face à des défis considérables en matière de prévoyance et de placements. Les placements leur offrent la possibilité d’obtenir des revenus plus élevés à long terme et de s’assurer ainsi une prévoyance vieillesse solide ainsi qu’une indépendance financière. Dans cet article, vous trouverez six situations typiques ainsi que des recommandations concrètes sur la manière de surmonter ces obstacles.
Travail à temps partiel et diminution des versements à la caisse de pension
Pour de nombreuses femmes, s’occuper de leur famille et de leurs enfants signifie interrompre sa carrière et travailler à temps partiel, ce qui réduit les versements à la caisse de pension et, par conséquent, les avoirs de prévoyance vieillesse. Ces lacunes de prévoyance peuvent toutefois être réduites, par exemple avec un pilier 3a. Par ailleurs, investir le patrimoine du pilier 3a dans des placements offre de meilleures perspectives de rendement à long terme. L’augmentation du patrimoine qui en résulte peut aider à compenser le déficit financier au niveau de la caisse de pension.
Perception d'une rente ou du capital: une question liée au revenu global de la famille
41% des femmes optent pour le versement d’une rente, contre seulement 21% des hommes. Ce choix est souvent plus judicieux, en particulier pour les personnes célibataires disposant d’un faible capital vieillesse auprès de leur caisse de pension. Elles disposent ainsi d’une rente garantie jusqu’à la fin de leur vie. Le retrait sous forme de capital offre en revanche une plus grande flexibilité, par exemple pour l’amortissement d’une hypothèque, une avance d’hoirie pour les enfants ou un investissement dans des placements rentables. Cette décision dépend toutefois toujours de sa situation personnelle et nécessite donc une réflexion globale.
Les comptes épargne classiques donnent un faux sentiment de sécurité
De nombreuses femmes, craignant les pertes, évitent les placements et misent plutôt sur des comptes épargne. «Cette solution donne aux femmes un faux sentiment de sécurité», avertit Julie Gloor, spécialiste en planification successorale chez Raiffeisen Suisse. Une inflation modérée de 2% par an fait baisser la valeur de 100’000 francs à moins de la moitié au bout de 40 ans. Un investissement dans des placements, même petit à petit, peut par contre protéger le patrimoine d’une dépréciation insidieuse et permettre sa croissance à long terme.
Manque de confiance dans leurs propres compétences financières
Beaucoup de femmes doutent de leurs capacités financières et hésitent donc à investir. «Les femmes ont souvent moins de connaissances financières que les hommes», confirme Julie Gloor. Il est toutefois facile d’y remédier avec quelques démarches ciblées: participer à des conférences web, lire des blogs spécialisés ou échanger avec des spécialistes financiers permet de développer le savoir-faire nécessaire et la confiance dans ses propres décisions financières.
L’indépendance financière à long terme des femmes exige un changement de paradigme fondamental – abandonner les modèles d’épargne traditionnels pour passer à une gestion maîtrisée de ses propres finances. Ce processus commence souvent par une remise en question des a priori bien ancrés et une réflexion proactive sur le thème de la prévoyance. Deux expertes de Raiffeisen vont bousculer les principales idées reçues entourant les stratégies de prévoyance et de placement et donner des conseils pratiques pour l’élaboration d’une planification financière durable lors de l’événement en ligne «Femmes et prévoyance: idées reçues et réalité», qui se tiendra le 12 novembre 2024 de 17h30 à 18h30. Les participantes et les participants auront l’opportunité d’acquérir des connaissances et de planifier des démarches concrètes pour leur avenir financier. La participation est gratuite.
L’indépendance financière à long terme des femmes exige un changement de paradigme fondamental – abandonner les modèles d’épargne traditionnels pour passer à une gestion maîtrisée de ses propres finances. Ce processus commence souvent par une remise en question des a priori bien ancrés et une réflexion proactive sur le thème de la prévoyance. Deux expertes de Raiffeisen vont bousculer les principales idées reçues entourant les stratégies de prévoyance et de placement et donner des conseils pratiques pour l’élaboration d’une planification financière durable lors de l’événement en ligne «Femmes et prévoyance: idées reçues et réalité», qui se tiendra le 12 novembre 2024 de 17h30 à 18h30. Les participantes et les participants auront l’opportunité d’acquérir des connaissances et de planifier des démarches concrètes pour leur avenir financier. La participation est gratuite.
Manque de modèles féminins dans le monde de la finance et dans l'entourage proche
Le manque de modèles féminins dans le secteur financier ainsi que le jargon très technique dissuadent bien des femmes de s’intéresser activement à la finance, et en particulier aux placements. Même dans l’entourage proche, les finances sont souvent un sujet tabou. Faute d’exemples inspirants, ce thème reste abstrait et peu accessible. Les femmes devraient davantage parler de questions financières avec leurs collègues et amis, échanger à ce sujet et rechercher activement des modèles – que ce soit au travers des réseaux, de la littérature ou des communautés en ligne. Des exemples positifs de femmes qui investissent avec succès dans des placements peuvent les motiver et les aider à entrer elles-mêmes dans le monde des investissements financiers.
Avantages fiscaux inexploités pour les investissements de prévoyance
Nombre de femmes ne mettent pas pleinement à profit les avantages fiscaux du pilier 3a et des rachats dans la caisse de pension. Or, ces instruments sont essentiels pour développer la prévoyance vieillesse et permettent en même temps de réaliser des économies d’impôts. Si les revenus d’une personne sont trop faibles ou nuls, par exemple en raison d’un travail à temps partiel ou d’un congé parental, son partenaire peut également effectuer les versements. Dans tous les cas, les femmes devraient exploiter de manière ciblée les possibilités du pilier 3a pour être mieux couvertes financièrement, aujourd’hui comme à la retraite.
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
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