La révision annoncée de la 3e correction du Rhône a suscité une avalanche de questions vendredi au Grand Conseil valaisan. Les réponses données par le conseiller d'Etat en charge du dossier Franz Ruppen n'ont pas apporté d'éléments foncièrement nouveaux.
Sept interpellations urgentes
La révision de la 3e correction du Rhône, présentée fin mai à la presse, était au coeur de sept interpellations urgentes, certaines interparties. Précisons que, contrairement à d'autres interventions urgentes, les interpellations ne sont pas défendues par leurs auteurs et n'ouvrent pas de débats en plénum.
Seul Franz Ruppen, chef du département de la mobilité, du territoire et de l'environnement, s'est donc exprimé. Il a répondu à la quarantaine de questions déclinées dans les interpellations écrites, et qui portaient notamment sur la compensation des surfaces d'assolements, le financement par la Confédération, les mesures prioritaires dans Le Chablais, ou encore les compétences du bureau mandaté pour mener la révision.