La plaie est encore profonde chez Srdjan Djokovic. Son fils Novak, qui n’est pas vacciné contre le Covid et qui a été infecté en décembre, a été expulsé d’Australie en janvier après un imbroglio autour de son visa. L’Open d’Australie s’est déroulé sans le tenant du titre serbe.
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Le papa du «Djoker» profite d’une confusion aux Jeux olympiques de Pékin pour se défouler contre l’Australie, avec une bonne dose de colère.
Participation malgré un test positif
Mais que s’est-il passé à Pékin? L’Australienne Tahli Gill a été testée positive avant le duel contre la Suisse en curling mixte dimanche. Elle et son partenaire Dean Hewitt faisaient déjà leurs valises, le comité olympique australien les invitant à rentrer chez eux.
Mais la situation s’est inversée. Les autorités sanitaires chinoises ont autorisé Tahli Gill, qui avait déjà été infectée par le coronavirus en janvier, à quitter son hôtel de quarantaine. Un nouveau test PCR a révélé que son taux de positivité se situait dans une fourchette acceptable. Elle a donc pu affronter (et vaincre) Jenny Perret et Martin Rios.
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Une aubaine pour Srdjan Djokovic. «Australiens, apprenez des Chinois. Voyez comme les athlètes sont respectés et valorisés. Honte à vous mille fois», fulmine-t-il via Instagram.
Avec des masques au hockey sur glace
D’ailleurs, le Covid a également fait des vagues lors du tournoi de hockey sur glace féminin à Pékin. Lundi, les Canadiennes ont d’abord refusé d’affronter la sélection russe, car les Européennes n’avaient pas de résultats récents. La semaine dernière, six Russes étaient positives et en isolement.
Le match a tout de même débuté avec une heure de retard. Les équipes portaient des masques de protection sous les grilles de leurs casques. Le Canada s’est imposé 6 à 1.