Courage et esprit pionnier
Des femmes qui assurent pour la Migros Fachmarkt AG

Innovation, goût de l’action et diversité: autant de valeurs mises à l’honneur chez Migros Fachmarkt AG. Trois femmes emblématiques de cette culture d’entreprise révèlent l’étendue des possibles au sein de la société.
Publié: 02.05.2022 à 11:00 heures
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Dernière mise à jour: 02.05.2022 à 11:16 heures
Article rémunéré, présenté par Migros Fachmarkt AG
Photo: Valeriano Di Domenico

Sur le plan des compétences, elles sont au top. Mais leurs qualités ne s’arrêtent pas là. Claudia Schüepp (42 ans), Irene Ackermann (54 ans) et Tamara Hunziker (39 ans) se démarquent par leur passion, leur sens de l’innovation et leur goût de l’action au sein de Migros Fachmarkt AG – et donnent corps à l’ADN de l’entreprise, jour après jour.

Depuis un an, Migros Fachmarkt AG assure des prestations pour les entreprises Micasa, melectronics, SportXX et Do it + Garden et s’emploie à préparer l’avenir, en avançant à grands pas. Pour cela, il faut parfois sortir parfois des sentiers battus – mais toujours dans la perspective de changer les choses et d’être pionniers. Des collaborateurs et des collaboratrices de l’étoffe de ces trois femmes sont essentiels à la réalisation de ces objectifs. En bref, des salariés qui ont le courage d’agir et de changer les choses.

Grâce à une culture d’entreprise innovante, l’engagement de Claudia Schüepp, Irene Ackermann et Tamara Hunziker trouve un terreau favorable qui profite aux entreprises du groupe Migros: les valeurs qui y sont cultivées laissent une grande place à des modèles de poste flexibles, à la créativité dans l’action et aux idées nouvelles. Elles incitent aussi les équipes à penser autrement. «J’aime l’esprit d’entreprise», explique Claudia Schüepp. «Nous sommes autorisés à remettre en question l’existant – un exemple qu’on nous montre depuis le sommet de l’entreprise.»

Claudia Schüepp: «J’adore penser radicalement différemment, parfois, et en grand»

Photo: Valeriano Di Domenico

Claudia Schüepp ressent cet esprit depuis le début de sa carrière: à 42 ans, elle se considère comme une enfant de Migros. Après des études de gestion, elle est entrée comme stagiaire à la Fédération des coopératives avant de gravir les échelons de l’entreprise jusqu’au poste de responsable des achats Accessoires, textiles & kids chez Micasa, quinze ans plus tard. «Aujourd’hui, je suis à la tête d’une équipe de 16 personnes, composée d’acheteuses et de leurs assistantes, et je fais partie de l’équipe de direction», indique-t-elle, précisant ses fonctions chez Migros Fachmarkt AG. Claudia Schüepp définit des lignes directrices stratégiques et porte la responsabilité du chiffre d’affaires, des parts de marché et de l’évolution positive de son assortiment de produits. Un job aux multiples responsabilités, qui exige une implication de taille. «Lors de mes jours de repos ou le soir, je pense souvent au travail», reconnaît-elle. «Actuellement, chez Micasa, nous opérons un repositionnement de grande envergure. Avec mon équipe, j’aimerais faire progresser Micasa, pour nous rendre incontournable sur le marché suisse de l’ameublement.» Pour y parvenir, dit-elle, «il faut souvent convaincre beaucoup d’intervenants de l’importance d’un projet, pour permettre sa concrétisation.» Ce qui ne se fait pas toujours rapidement. «Je trouve important de ne pas se laisser décourager.» Parfois, un tour de piste supplémentaire s’impose. Ou bien une seconde tentative.

Aller toujours plus loin: Claudia Schüepp y est disposée, depuis le début de sa carrière. Après la naissance de chacun de ses trois enfants, elle est revenue travailler chez Migros, assumant parfois même de nouvelles fonctions. Ce qui ne s’est pas fait sans résistances, notamment après son premier enfant. «Lorsque j’ai annoncé, lors de ma première grossesse, que je reprendrai à 80%, certains, ici ou là, ont émis des réserves.» Une mère qui demande à travailler à 80%, voilà qui était encore assez inédit en 2010 dans le monde de l’entreprise, se souvient Claudia Schüepp. Mais elle s’est battue pour cela – et a prouvé que ce modèle est bel et bien possible. «Je trouve qu’on ne devrait pas avoir à choisir entre sa carrière et sa famille. Et pour moi, la question ne s’est jamais posée – je voulais que ce soit possible, tout simplement.» Cependant, il est clair aussi, à ses yeux, que les femmes ne peuvent y arriver seules. «Pour que cela devienne une évidence, il faut d’une part des hommes disposés à lever le pied professionnellement et à mettre davantage la main à la pâte à la maison, et d’autre part une culture d’entreprise adaptée, qui rend cela possible et qui le montre.» Chez Migros, bien des choses ont changé depuis la naissance de son premier enfant. «Mais dans la société en général, cet objectif est loin d‘être atteint.»

Des échanges factuels, sans considérations de pouvoir

Tout de même: Claudia Schüepp a d’ores et déjà trouvé la solution optimale pour son cas personnel – ce qui lui permet de donner le meilleur d’elle-même au travail. C’est ce que fait au quotidien cette femme d’action, qui se qualifie d’ambitieuse, d’enthousiaste, de dénicheuse de solutions et de professionnelle à l’écoute du client. «Avec mon équipe, j’adore remettre en question l’existant et parfois, penser radicalement différemment, en grand», confie-t-elle. «Autrement dit: nous ne nous contentons pas de retirer un article de l’assortiment pour le remplacer par un autre, mais nous nous posons la question: qu’est-ce que le client attend de l’assortiment de parures de lit chez Micasa? Qu’est-ce que notre assortiment de parures de lit doit incarner? Et que devons-nous faire pour mettre en pratique cette vision?» Au sein de l’équipe, on discute beaucoup, tout le monde est très impliqué. «Cependant, les échanges restent toujours factuels, personne n’en fait une affaire d’ego ou de pouvoir.»

Pour atteindre ses objectifs, Claudia Schüepp peut s’appuyer sur une bonne dose de détermination. Son credo? Croire au projet, s’accrocher et le mener à terme. «Je m’efforce systématiquement de ne pas me laisser rebuter par des structures et des process existants. Au final, c’est le client de Micasa qui est cœur de toutes nos actions et ce qui compte, c’est ce qu’il veut – voilà quel doit être l’objectif pour toutes les personnes impliquées.» Pour Claudia Schüepp, la récompense de ses efforts infatigables est de découvrir dans les points de vente et sur le site internet ce qu’elle a élaboré avec ses équipes. «Dans ces moments-là, je sens que tous les membres de mon équipe œuvrent dans la même direction et je vois aussi de l’enthousiasme dans leurs yeux – ça me donne le sentiment d’avoir fait du bon boulot.»

Le conseil de carrière de Claudia Schüepps: «À toutes les femmes, avec ou sans enfants, je dirais: croyez en vous et osez faire de véritables pas en avant – même s’ils vous paraissent trop grands. Autre chose: les femmes ne doivent pas se dire qu’il leur faut se comporter comme des hommes. Nos enfants ont impérativement besoin d’un plus grand nombre de modèles féminins dans le monde du travail!»

Travailler chez Migros Fachmarkt AG

Migros Fachmarkt AG (MFM AG) est une société de services qui assure des prestations centralisées aux entreprises Micasa, melectronics, SportXX et Do it + Garden. Cela recouvre notamment l’orientation stratégique, le Category Management, le commerce en ligne et le marketing. Envie de travailler dans cet environnant stimulant? Alors consulte nos offres d’emploi.

Migros Fachmarkt AG (MFM AG) est une société de services qui assure des prestations centralisées aux entreprises Micasa, melectronics, SportXX et Do it + Garden. Cela recouvre notamment l’orientation stratégique, le Category Management, le commerce en ligne et le marketing. Envie de travailler dans cet environnant stimulant? Alors consulte nos offres d’emploi.

Irene Ackermann: «Acquérir des connaissances, puis valoriser mes expériences et mes résultats»

Photo: Valeriano Di Domenico

Le moteur d’Irene Ackermann, 54 ans, c’est sa curiosité. Tout au long de son parcours professionnel, elle n’a pas hésite, toujours et encore, à se lancer à l’assaut de «terres vierges» qu’elle préfère aux «champs déjà cultivés» - et elle les a labourées de fond en comble! C’est aussi ce que révèle son CV: après un apprentissage de commerce dans une agence de publicité, Irene Ackermann a entamé son parcours professionnel comme consultante junior dans le même secteur – et a eu son premier enfant à 23 ans. Puis elle a accompli des études d’économie pour ensuite démarrer son ascension de carrière, à 35 ans, qui l’a menée dans cinq secteurs totalement différents. Le dénominateur commun de ses postes successifs chez Tamedia, Betty Bossi, Siemens, l’assurance maladie Sanitas et Migros Fachmarkt AG? La poursuite de la transformation numérique, toujours à des fonctions de direction. Et presque «en passant», Irene Ackermann a aussi fondé une famille, avec deux enfants, et décroché un MBA en marketing.

Ce qu’elle aime particulièrement, c’est switcher entre des environnements professionnels différents, avec des besoins de clients et des technologies spécifiques, s’y plonger, y instituer des valeurs et travailler toujours avec de nouvelles personnes, explique Irene Ackermann au sujet de sa passion de «switcheuse de secteur». «Ma stratégie, c’est d’acquérir des connaissances, puis de valoriser mes expériences et mes résultats – seule ou mieux encore, en équipe. » Pour cela, elle est perpétuellement à l’affût d’initiatives et de projets passionnants au sein de son entreprise.

C’est ce qu’elle fait depuis deux ans pour les entreprises du groupe Migros. Elle a pris son poste de responsable de projet E-commerce en plein confinement du Covid, en 2020. Un job nouveau dans un secteur nouveau – «en travail nomade, le défi a été de taille», se souvient-elle. Mais cette nouvelle terre à conquérir, elle l’a, là aussi, cultivée avec une immense passion – avant d’évoluer en interne: nommée au poste de Product Manager Video-Shopping, elle est responsable depuis le mois d’avril pour le business case du conseil vidéo en direct dans les entreprises du groupe et pour les développements futurs sur cette plateforme. «C’est à la fois de la conception et de la mise en pratique», explique-t-elle. «Je peux travailler sur mes projets en toute indépendance, en restant toujours très centrée sur le client – et j’ai énormément de contacts humains: dans l’équipe interdisciplinaire du conseil vidéo en direct, avec des clientes et des clients, et au sein des différentes entreprises avec les pros du marketing, de l’IT et du Category.» Elle dit adorer ces échanges permanents qui lui permettent d’élaborer ses actions avec efficacité et de les cibler sur ses objectifs.

Des obstacles à surmonter

Son objectif déclaré: établir le conseil vidéo en direct, pour qu’il devienne aussi naturel pour les consommatrices et les consommateurs que le commerce en ligne ou les achats en magasin. Ces échanges par vidéo offrent aux clientes et aux clients la même expérience de conseil qu’en magasin. Par ailleurs, Irene Ackermann prévoit le lancement d’autres outils d’achat par vidéo innovants et axés sur le client. «Ces outils permettent de faciliter la vie de nos clientes et de nos clients et de leur faire vivre une expérience d’achat inédite», explique-t-elle.

Même chez Migros Fachmarkt AG, cela ne se fait pas sans devoir surmonter quelques obstacles mineurs - essentiellement de ceux qui sont caractéristiques des grands groupes, comme la pensée en silo ou des systèmes IT particulièrement complexes. Cependant, Migros Fachmarkt AG s’attaque à faire tomber ces obstacles éventuels par le biais de groupes de projets interdisciplinaires et d’une remise en question permanente des process existants. Et puis, Irene Ackermann est quelqu’un qui aborde les défis avec pragmatisme et assurance. C’est ainsi aussi qu’elle gère les résistances à ses projets, auxquelles il lui est arrivé de se heurter au cours de son parcours professionnel. «Je prends systématiquement les résistances au sérieux, sans toutefois en faire une affaire personnelle», analyse-t-elle. «Car la résistance est une forme de feedback et pour moi, le feedback est toujours précieux.» Il permet soit d’évoluer, soit d’améliorer l’efficacité d’un projet, ajoute-elle.

Irene Ackermann considère que les marchés spécialisés du groupe Migros lui permettent à merveille de donner corps à son gène de femme d’action. La culture de l’entreprise est marquée par une ouverture considérable et elle s’y sent parfaitement soutenue, tant au sein de son équipe que par la direction. «Les relations entre collaborateurs sont extrêmement courtoises, bienveillantes et chaleureuse», dit-elle avant de poursuivre: «C’est non seulement agréable au quotidien, mais se ressent sur la qualité du travail de chacun.»

Le conseil de carrière d’Irene Ackermann: «De temps à autre, n’hésitez pas à sortir de votre zone de confort, cela renforce l’estime de soi. Lorsqu’une opportunité se présente, saisissez-la: définissez vos besoins et exposez les raisons pour lesquelles vous êtes précisément la personne de la situation. En cas d’échec, faites brièvement une place à vos sentiments négatifs, puis relevez-vous et avancez.»

Tamara Hunziker: «Cela m’a montré que même avec deux enfants, je pouvais poursuivre ma carrière»

Photo: Valeriano Di Domenico

«Tout est une question d’organisation.» C’est ce qu’explique Tamara Hunziker, 39 ans, Category Manager Outdoor / Kids chez SportXX. Cette mère de deux enfants (3 et 5 ans) et son mari illustrent comment s’y prendre pour assumer l’un et l’autre des postes de direction à temps partiel et gérer une famille avec deux enfants. Depuis six mois, Tamara Hunziker occupe ce poste au sein de Migros Fachmarkt AG, où elle dirige une équipe de douze personnes composée d’acheteuses et d’acheteurs, d’assistantes et d’assistants. «Un job riche en défis», confie-t-elle. «La situation actuelle en Asie due au Covid et le contexte politique en Europe compliquent la planification et apportent leur lot d’incertitudes. Cela nous oblige à être extrêmement proactifs – bien plus qu’avant.» Mais Tamara Hunziker prend plaisir à relever ces défis avec son équipe. «Cela nécessite une implication considérable de la part de tous. Mais Migros Fachmarkt AG est vraiment exemplaire concernant la flexibilité au travail.»

Une philosophe d’entreprise qui a permis à Tamara Hunziker, elle aussi, de concilier son souhait d’occuper un poste de direction avec sa vie de famille. Après une formation de gestionnaire du commerce de détail, elle a gravi les échelons dans son secteur à la faveur de plusieurs formations continues, jusqu’à se voir proposer, à l‘automne dernier, un poste de direction. Son supérieur, familiarisé lui-aussi avec les aléas de la vie de famille, lui a explicitement conseillé de se lancer: «Cela m’a montré que même avec deux enfants, je peux poursuivre ma carrière et travailler comme je l’ai toujours souhaité, à savoir avec une orientation plus stratégique.» Par ailleurs, Tamara Hunziker est passée de 60 à 80% – tandis que son mari, qui travaillait à plein temps, s’est mis à 80% – au sein de la même entreprise. «Lorsque nous sommes devenus parents, les choses étaient claires pour nous: nous tenions à conserver notre activité professionnelle, l’un et l‘autre», explique Tamara Hunziker. «Nous sommes très heureux que Migros Fachmarkt AG l’ait rendu possible.» Par ailleurs, elle considère que les hommes ont, eux aussi, le droit d’être impliqués dans la vie de leurs enfants.

Planifier aussi du temps pour soi

Cependant, l’attitude exemplaire de l’employeur n’est que l’un des termes de l’équation. L’autre, c’est un planning bien ficelé, grâce auquel les enfants ne sont pas gardés par des personnes extérieures plus de trois jours par semaine. Ainsi, dans la famille Hunziker, Monsieur et Madame ont chacun un jour dans la semaine, toujours le même, où ils ne travaillent pas pour se consacrer entièrement aux enfants et à la maison. Et les jours où il ne part pas au bureau, son mari s’occupe, lui aussi, des lessives, du ménage et de la cuisine. Les journées où tous deux travaillent sont elles aussi réglées comme du papier à musique. L’un commence tôt, l’autre emmène les enfants à la crèche et au jardin d’enfants. Et le soir, celui qui est parti tôt au bureau va chercher les enfants, tandis l’autre travaille un peu plus tard. Une fois par semaine, l’un et l’autre ont une soirée pour eux, pour faire du sport ou voir des amis. «Mais nous pratiquons aussi des activités sportives en famille, avec les enfants», ajoute la mère de famille.

Cette organisation est facilitée par le fait que ces deux parents peuvent s’appuyer sur la même culture d’entreprise et donc sur une grande flexibilité. «Cela ne pose pas de problème si exceptionnellement, on ne commence qu’à 9 heures en raison d’un imprévu», explique Tamara Hunziker. Les époux font aussi preuve de flexibilité entre eux – si l’un a une réunion importante organisée à la dernière minute, l’autre s’occupe des enfants au pied levé. Ce système permet à Tamara Hunziker, 39 ans, d’être présente auprès de ses enfants comme elle le souhaite, tout en ayant suffisamment de latitude pour aller de l’avant et faire prospérer l’entreprise. Ainsi, Tamara Hunziker prévoit par exemple de renforcer encore la cohésion de son équipe et d’étoffer aussi son assortiment. «J’aimerais fixer de nouveaux jalons qui surprendront les clients.» Pour elle, sa famille compte plus que tout. Avant d’ajouter :«Mais j’adore aussi travailler!»

Le conseil de carrière de Tamara Hunziker: «Pour que le modèle permettant de concilier vie professionnelle-vie de famille fonctionne, je conseillerais à tout le monde de faire preuve de beaucoup de compréhension: les collaborateurs sans enfants doivent comprendre que lorsqu’un enfant est malade, il FAUT impérativement aller le chercher à la crèche, qu’on ne peut pas faire autrement. De la même manière, un père ou une mère doit savoir que si son enfant a pleuré toute la nuit, l’empêchant de fermer l’œil, c’est son problème, et son problème à lui seul ou à elle seule. Dans ce cas, le parent doit se débrouiller pour être pleinement performant le lendemain au travail, quoi qu’il arrive.»

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Cet article a été rédigé pour le compte d’un client. Les contenus sont de style journalistique et répondent aux critères de qualité de Ringier.

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