TotalEnergies a fait part mercredi d'une chute de son bénéfice pour l'année 2024 de 26% à 15,8 milliards de dollars, en raison de prix de l'énergie «moins favorables» et de marges de raffinage «en fort repli», après deux années de profits records.

Nouveau coup du pour Genève! Le géant de l'inspection et de la certification prévoit de déménager à Zoug. Cette décision, motivée par des raisons immobilières, sera finalisée fin février et soumise à l'assemblée générale en mars.

UBS renoue avec les profits au dernier trimestre 2024, affichant un bénéfice net de 770 millions de dollars. La banque dépasse les attentes des analystes et augmente son dividende à 0,90 dollar par action, tout en poursuivant l'intégration de Credit Suisse.

Quatre établissements financiers présentent leurs résultats annuels cette semaine. Le temps n'est pas au beau fixe, mais les coûts s'envolent. Lundi, des suppressions d'emplois pourraient survenir chez Julius Baer.

Le gestionnaire de fortune Julius Bär annonce une restructuration majeure et un programme d'économies étendu. Malgré de bons résultats en 2024, la banque vise à réduire ses coûts et à simplifier sa direction pour améliorer sa rentabilité.

L'IA de la start-up chinoise Deepseek a fait chuter le cours des actions des géants américains de la technologie lundi. Mais que signifie vraiment ce séisme boursier? Quelles conséquences pour la Suisse? Blick fait le point.

Les prix de l'immobilier en Suisse ont légèrement augmenté en 2024, selon RealAdvisor. Malgré des taux hypothécaires attractifs, le marché reste prudent pour 2025, avec des prix qui devraient suivre l'inflation.

Le nouveau président des Etats-Unis a lancé une monnaie à son effigie. Mais lorsqu'un journaliste lui parle du succès de son «meme coin», il admet ne pas s'y être intéressé de près.

Le WEF 2025 est plus politique que jamais. Le retour de Trump et la guerre en Ukraine ont dominé les débats. De nombreux managers se réjouissent secrètement de la perspective de moins de réglementations.

Peu effarouchés par Trump ou Robert Kennedy Jr., les patrons d'UBS, Novartis et Zurich estiment que l’Europe doit davantage devenir comme l'Amérique de Trump. Sans quoi, elle sera encore plus dépassée. Ces groupes sont très présents sur le marché américain.