Le Tribunal cantonal a accepté toutefois un plan des lieux, déposé par la défense. «Les locaux sont séparés en deux parties et les actes reprochés n'ont pas eu lieu à l'étude, mais dans la partie privée», a expliqué Loïc Parein, avocat.
Un jeune, qui faisait un apprentissage chez l'avocat et dont l'abonnement téléphonique est toujours payé par ce dernier, a toutefois déclaré avoir dormi à plusieurs reprises dans la petite pièce, servant de salle d'attente pour les clients.
Il a expliqué que le message où il accusait l'avocat de l'avoir masturbé pendant des voyages était uniquement de la manipulation pour que le prévenu ne soit plus sur son dos. «Je me suis fait passer pour une victime.»
En décembre 2022, l'accusé avait été condamné à 22 mois de prison avec sursis durant trois ans.
(ATS)