C’est vendredi soir. Le printemps est enfin là, les rives du lac de Neuchâtel s’apaisent doucement et les derniers reflets du soleil glissent sur l’eau. On pose les valises dans une chambre simple, confortable, avec cette odeur de bois ciré et de linge propre qui dit qu’on est bien arrivé.
On avait envie de prendre l’air. De ralentir un peu. Se laisser porter en partant ailleurs, mais pas trop loin non plus. D’où cette virée dans le pays de Neuchâtel pour un week-end découverte.
Le lac comme horizon
Le lendemain, on descend à pied jusqu’au port. La ville est déjà bien vivante: c’est jour de marché. Des enfants courent entre les étals, des odeurs de pain chaud, de fromage, de fleurs fraîches flottent dans l’air.
On arrive au bord du lac. Les eaux sont calmes, cristallines: c’est apaisant. On se promène, main dans la main, sans but précis. Plus loin, un bateau est à quai: un panneau annonce l’ouverture ce week-end des croisières. Et si on y allait? On se renseigne, c’est un tour d’une heure trente, du nord au sud. On grimpe. C’est parfait.
Le bateau glisse sur l’eau. À droite, quelques voiliers blancs qui tanguent. Le vent encore frais d’avril nous décoiffe mais qu’importe, on s’adosse au bastingage et on profite. Le temps ralentit. C’est doux, c’est simple.
Chemins tranquilles et goût de l’interdit
De retour sur la terre ferme, on grignote une taillaule aux raisins, une brioche typiquement neuchâteloise, achetée à la boulangerie du coin. Il n’est pas encore midi, mais on est déjà dépaysé.
Le Fun'ambule, petit funiculaire sous la ville qui monte à la gare, puis un train – on a le temps – nous emmènent jusqu’au Val-de-Travers. À Môtiers, on s’arrête devant une maison aux volets verts. À l’intérieur, l’histoire d’une boisson légendaire: l’absinthe. Alambics de cuivre, flacons anciens, récits de contrebande et de poésie…
La lumière est tamisée, les murs racontent une époque révolue. On devine l’odeur anisée bien avant de la porter aux lèvres.
La journée s’est enchaînée tellement naturellement. Et il faut bien le dire, le lien reçu par mail suite à notre réservation hôtelière a discrètement simplifié les choses. Pas besoin de réserver, de sortir le portefeuille, de réfléchir. Juste une WebApp et un QR à présenter.
Art et précision en altitude
Le dimanche, changement d’ambiance. On grimpe à La Chaux-de-Fonds, petite ville haut perchée dans l’Arc jurassien. L’air y est différent, plus vif, plus franc. La ville aussi se démarque, tout y est plus géométrique, plus carré, mais avec beaucoup de charme.
On visite le Musée des Beaux-Arts. Dans le silence de ces grandes pièces, très lumineuses, on profite des œuvres, parfois intrigantes. À quelques pas de là, il y a le Musée International de l’Horlogerie. On y fait un saut. L’ambiance est plus cosy, la lumière plus chaleureuse. On est soufflé: on ne pensait pas se laisser émouvoir par des rouages. Et pourtant. Il y a là quelque chose de plus que de la technique : une élégance dans le détail, une obsession de la justesse.
On se laisse porter, encore. Et chaque fois qu’une porte s’ouvre, on se rappelle qu’il suffit d’un QR. Un détail, mais qui change tout.
La Neuchâtel Tourist Card est offerte à toute personne séjournant au moins une nuit dans un hôtel, un camping, un gîte ou un appartement de vacances du canton de Neuchâtel.
Elle permet de bénéficier gratuitement de nombreux avantages durant tout le séjour, notamment:
- l’utilisation des transports publics dans tout le canton pendant toute la durée de votre séjour
- deux croisières: une sur le lac de Neuchâtel et un aller-retour sur le lac des Brenets
- l’entrée dans 31 musées
- des trajets en funiculaires (Chaumont) et le télésiège Buttes - La Robella
- la location journalière d'un vélo à Neuchâtel et au Locle.
La carte vous sera envoyée par e-mail avant votre arrivée. Il suffit ensuite d’activer l’accès via la WebApp Neuchâtel Tourist Card et d'utiliser un PromoCode dans Fairtiq pour les transports.
La Neuchâtel Tourist Card est offerte à toute personne séjournant au moins une nuit dans un hôtel, un camping, un gîte ou un appartement de vacances du canton de Neuchâtel.
Elle permet de bénéficier gratuitement de nombreux avantages durant tout le séjour, notamment:
- l’utilisation des transports publics dans tout le canton pendant toute la durée de votre séjour
- deux croisières: une sur le lac de Neuchâtel et un aller-retour sur le lac des Brenets
- l’entrée dans 31 musées
- des trajets en funiculaires (Chaumont) et le télésiège Buttes - La Robella
- la location journalière d'un vélo à Neuchâtel et au Locle.
La carte vous sera envoyée par e-mail avant votre arrivée. Il suffit ensuite d’activer l’accès via la WebApp Neuchâtel Tourist Card et d'utiliser un PromoCode dans Fairtiq pour les transports.
En selle, direction les hauteurs
Pour l’après-midi, retour à Neuchâtel. On a envie d’espace, d’air pur. On enfourche deux vélos, loués en un clin d’œil et on file le long des rives du lac.
Le chemin longe les roseaux, frôle les petites plages, traverse des coins de verdure qu’on n’imaginait pas aussi proches de la ville. Après un joli tour, jusqu’à la Tène, on profite du retour par Hauterive pour grimper vers Chaumont en funiculaire.
L’ascension est douce, presque silencieuse. Là-haut, la vue se déploie sur tout le plateau, les montagnes en fond, le bleu du lac en contrebas. On s’assoit un moment sur un banc. Rien ne presse.
Le luxe de ne rien prévoir
Ce week-end, on ne l’avait pas préparé. On a laissé les envies décider. Et à chaque détour, une surprise. Un paysage. Une activité. Une rencontre. Comme si tout s’était aligné pour nous laisser profiter.
Le secret? Cette fameuse Neuchâtel Tourist Card ou NTC! Du début à la fin, elle était là, discrète, à disposition dans notre téléphone. Elle a rendu tout ça plus fluide, plus libre.
Mais ce qu’on retient, ce n’est pas elle. Ce sont les moments! Le silence sur le lac. Le parfum de la première gorgée d’absinthe. Ce tableau qui nous a fait voyager. Le cliquetis des wagons dans la pente douce du funiculaire. Et cette impression rare de s’être offert un vrai temps pour soi. Juste le plaisir de découvrir. Comme par magie.
Cet article a été réalisé par le Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact: E-mail à Brand Studio
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