«Il va falloir vérifier tout cela, cela peut prendre un peu de temps», a ajouté la présidence française, tout en «constatant que les déclarations des autorités biélorusses», qui ont affirmé que les troupes russes allaient rester, «ne coïncident pas avec les propos du président Poutine».
Minsk, allié de Moscou dans sa crise avec les Occidentaux, a annoncé que les troupes russes présentes sur son territoire depuis le 10 février pour des exercices militaires devant se terminer dimanche allaient rester pour d'autres manoeuvres similaires.
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(ATS)