Il y a plus d’un mois, le corps de Brian Laundrie était retrouvé. On sait désormais comment le petit ami de Gabby Petito a perdu la vie, rapporte le site «Breaking 911».
L’anthropologue médico-légal ayant examiné la dépouille de Brian Laundrie a estimé qu'il est mort d’une blessure par balle à la tête, a déclaré l’avocat de la famille Laundrie, Steven Bertolino.
Les parents ont été informés que leur fils est mort par suicide. «Chris et Roberta pleurent leur fils et espèrent que ces conclusions permettront de tourner la page pour les deux familles».
La police supposait déjà qu’il s’était suicidé
La dépouille du jeune homme avait été trouvée dans une réserve naturelle de Floride. Les semaines précédentes, les autorités américaines avaient traqué sans relâche le petit ami de Gabby Petito, retrouvée morte dans le désert du Wyoming.
La police supposait déjà que Brian Laundrie s’était suicidé. Le médecin légiste n’a toutefois pas pu déterminer la date et la cause du décès, mais avait pu identifier le corps du jeune homme à partir de ses empreintes dentaires.
La famille de Gabby Petito est restée silencieuse depuis la découverte du corps de Brian Laundrie. Son père, Joseph Petito, a déclaré à une station de radio américaine qu’il espérait que nouvelles informations sur la situation pourraient lui apporter un peu de réconfort.
De nombreuses zones d’ombre subsisteront
Brian Laundrie était rentré seul d’un road trip à travers les Etats-Unis avec sa petite amie, Gabby Petito, et gardait le silence. Après d’intenses recherches, le corps de la jeune femme a finalement été retrouvé en septembre dans l’État du Wyoming. Le couple s’y était rendu en van. Selon le médecin légiste, la jeune femme de 22 ans a été étranglée.
La confirmation du suicide de Brian Laundrie marque un épilogue dans un feuilleton qui aura tenu les USA en haleine tout l’été. Pourra-t-on un jour prouver que le jeune homme de 23 ans a tué sa petite amie? De nombreuses zones d’ombre continueront de planer sur ce chapitre des faits divers américains.
(Adaptation par Alexandre Cudré)
