Ce serait un nouveau record
Il veut devenir le «dieu du mariage» et faire 54 enfants

Ryuta Watanabe, 36 ans, vise à avoir 54 enfants et à devenir le «dieu du mariage». Il vit avec plusieurs femmes et s'occupe de la maison, défiant les lois japonaises sur la polygamie.
Publié: 20.10.2024 à 10:42 heures
Ryuta Watanabe vit avec ses trois «épouses». Il est séparé de la quatrième.
Photo: X
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Solène MonneyJournaliste Blick

Cet homme aurait sûrement fait la fierté d'Emmanuel macron et son plan de «réarmement démographique» s'il était français. En effet, le Japonais Ryuta Watanabe a de grandes ambitions pour sa descendance: faire pas moins de 54 enfants! Cerise sur la gâteau, il veut devenir le «dieu du mariage», rapporte jeudi 17 octobre le «Daily Mirror». 

En tout, il a déjà dix enfants. Pour agrandir sa famille, le Japonais compte sur les revenus de ses «épouses» et ses deux petites amies. L'homme de 36 ans ne travaille plus depuis 10 ans. S'il atteint son objectif, il battra le record du plus grand nombre d'enfants engendrés dans le pays. 

Homme au foyer

Au Japon, la polygamie est illégale, c'est-à-dire qu'un homme ne peut pas être marié à plusieurs femmes en même temps. Il en fallait plus à Ryuta Watanabe pour le décourager. Il a trouvé la parade: dans le Pays du Soleil Levant, le fait d'être en cohabitation de long terme permet aux «épouses» de l'homme d'être reconnues comme partenaires aux yeux de la loi.

D'ailleurs, pendant que ses «épouses» charbonnent pour ramener de quoi subvenir aux besoins de la grande famille, lui s'occupe des enfants, fait le ménage et prépare à manger. En tout, ils dépensent mensuellement près de 5300 francs. 

Une femme différente chaque nuit

Il semble que le ménage atypique vit bien cette situation. Interrogé lors d'une émission japonaise, Ryuta Watanabe a déclaré: «J'aime les femmes. Tant que nous nous aimons de la même manière, il n'y aura pas de problèmes.»

Il a ensuite expliqué qu'il dormait avec une femme différente chaque nuit et qu'il avait plus de 28 relations sexuelles par semaine. Toujours selon le Japonais de 36 ans, ses partenaires ne sont pas jalouses de devoir se le partager. C'est ce qu'on appelle le partage. 

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