Donald Trump ne porte pas le prince Harry dans son cœur, mais il exècre encore plus son épouse Meghan Markle. Et il ne s’en cache pas. L’ancien président américain a même déclaré vouloir expulser le couple Sussex des Etats-Unis.
Mais revirement de situation la semaine passée: cette menace n’est plus à l’ordre du jour. Pourquoi ce changement soudain? Trump lui-même a donné une réponse… à sa manière: «Je vais le laisser tranquille. Il a assez de problèmes avec sa femme. Elle est horrible.» Un vrai gentleman.
Derrière cette blague de mauvais goût, se cachent en réalité d’autres raisons bien plus stratégiques. Et elles mènent toutes à Charles III, feu Elizabeth II et le prince William.
Sa relation amicale avec le roi Charles
Selon «The Sun», c’est une amitié pour le moins inattendue qui jouerait en faveur de Meghan et Harry: celle entre Donald Trump et le roi Charles III. Un lien « chaleureux » qui empêcherait l’ancien président américain d’expulser le couple royal de Californie.
Tout aurait commencé en 2019, lorsque Trump, accompagnée de son épouse Melania, en visite d’Etat au Royaume-Uni, partage une tasse de thé avec Charles et Kamila. Une rencontre immortalisée par une photo où tout le monde sourit – preuve, s’il en fallait une, que l’ambiance était au beau fixe. Depuis, selon une source du tabloïd britannique, les deux hommes ne se lâchent plus et s’échangent des nouvelles régulièrement.
La preuve ultime de cette proximité? Lorsque le roi Charles a annoncé son cancer l’an dernier, Trump n’a pas caché son émotion. Dans un message en majuscules sur Truth Social, il a déclaré: «LE ROI CHARLES A UN CANCER. C'EST UN HOMME MERVEILLEUX, QUE J'AI APPRIS À BIEN CONNAÎTRE PENDANT MA PRÉSIDENCE, ET NOUS PRIONS TOUS POUR QU'IL SE RÉTABLISSE RAPIDEMENT ET COMPLÈTEMENT!»
Et comme on le sait, Donald Trump prend l’amitié très au sérieux. Mettre Meghan et Harry à la porte de Los Angeles? Ce serait une offense à Charles.
Le «président préféré» d'Elisabeth II
Donald Trump en est convaincu: il était le président préféré de la défunte reine Elizabeth II. «J'avais une excellente relation avec la reine. Elle m'aimait bien et je l'aimais bien», assure-t-il, sûr de son charme. Une croyance qui, pour l’instant, joue en faveur de Meghan et Harry, mais qui ne colle pas vraiment avec la réalité.
Selon un chroniqueur du «Daily Mail», la souveraine n’était pas franchement fan du milliardaire américain. Elle l’aurait même trouvé «irrespectueux». La cause? Une remarque malheureuse lors de leur rencontre en 2018. Trump, en toute subtilité, aurait lâché que la princesse Margaret devait être «une sœur difficile». La boulette: Elizabeth II a toujours protégé sa cadette avec acharnement.
Mais ce n’est pas tout. La monarque aurait aussi détesté l’attitude de Trump, qui regardait par-dessus son épaule, comme «s’il cherchait quelqu’un de plus intéressant à qui parler». On imagine l’ambiance.
Le prince William, le joker
Le prince William a été le premier membre de la famille royale à rencontrer Donald Trump après son élection. Un échange tout sourire qui laisse planer une question: suivra-t-il les traces de son père, le roi Charles III?
En tout cas, Trump semble conquis. Fidèle à son style, il multiplie les éloges sur le futur roi: «C'est un homme bon», «Il fait un travail fantastique». Reste à voir si cette amitié naissante tiendra. Quoi qu’il en soit, les bonnes relations entre Trump et la famille royale jouent en faveur de Meghan et Harry. Un détail loin d’être anodin, même si cette cordialité semble avant tout une affaire de façade.