La famille de la victime, accompagnée de son avocat Me Dario Barbosa (à gauche), lors du procès de l'auteur de l'assassinat d'un Portugais en septembre 2020 à Morges.
Photo: PABLO GIANINAZZI
Pour le procureur fédéral Gilles Nicolet, les actes très graves, les motifs futiles et l'absence de prise de conscience mériteraient une peine à vie. Cette sanction doit cependant être atténuée en raison la responsabilité moyennement diminuée qui a été attestée par l'expert psychiatre.
(ATS)