Ils s'attaquaient surtout aux voitures
Deux voleurs se font pincer à Fribourg

La police cantonale fribourgeoise a arrêté deux voleurs présumés à Remaufens, le dimanche 23 juin. L'un des hommes était par ailleurs signalé pour une peine privative de liberté, pour vol. Le duo s'attaquait surtout aux voitures non verrouillées à clef.
Publié: 24.06.2024 à 15:46 heures
|
Dernière mise à jour: 24.06.2024 à 16:00 heures
Deux hommes sont soupçonnés de vols dans des voitures non verrouillées à clef, dans le canton de Fribourg. (Image d'illustration)
Photo: Shutterstock
Blick_Daniella_Gorbunova.png
Daniella GorbunovaJournaliste Blick

Ils ont été aperçus, le dimanche 23 juin, vers 5h du matin, en train de fouiller des voitures devant des habitations, à Remaufens, dans le canton de Fribourg. C'est ce qui a permis de coincer ces deux voleurs en série supposés, informe la police cantonale.

En voyant les agents arriver, ce dimanche, l'un des individus a jeté un téléphone portable. Les forces de l'ordre ont également trouvé de l'argent liquide pour plusieurs centaines de francs et d'euros, deux téléphones portables, des bijoux et des petits appareils électroniques en leur possession.

Les deux hommes, des ressortissants algériens âgés de 29 et 28 ans, vivant dans un centre d'asile du canton de Vaud, ont été emmenés dans un poste de police.

Lors des contrôles, il s'est avéré que l'homme de 29 ans était signalé pour une peine privative de liberté pour vol dans le système de recherche national RIPOL.

Vols dans des voitures

Ces hommes sont soupçonnés de vols dans des voitures non verrouillées à clef. Ils se seraient aussi introduits dans un garage non fermé à clé à Remaufens, dans la nuit de samedi à dimanche.

À ce jour, deux plaintes pénales ont été enregistrées dans cette affaire. Le téléphone portable jeté lors de l’intervention a été récupéré et restitué à son propriétaire qui a déposé une plainte pénale.

Les deux prévenus ont été interrogés, présentés au Ministère Public et placés en détention. Ils ont nié les faits qui leur sont reprochés à ce jour. L'enquête menée par la police se poursuit sous la direction du Ministère Public.

Découvrez nos contenus sponsorisés
Vous avez trouvé une erreur? Signalez-la