Seule athlète à avoir accepté les trois semaines d’isolement imposées aux non-vaccinés, la Valaisanne semble se porter comme un charme, à entendre le ton enjoué de son interview transmise par Swiss Ski et Swiss Olympic.
Elle est en quarantaine depuis le 13 janvier et se «sent comme à la maison». Le personnel de l’hôtel est «extrêmement aimable» et lui a offert de petits cadeaux.
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Patrizia Kummer dit avoir «tellement de choses à faire» qu’elle n’a pas le temps de s’ennuyer. Elle peut quitter sa chambre au Village olympique par un transport spécial pour se rendre sur les pistes.
«Je bénéficie des mêmes conditions que les athlètes testés positifs», relève encore celle qui disputera le géant parallèle, le 8 février. Elle a précisé ne pas encore savoir précisément quand sa quarantaine se terminera.
Patrizia Kummer avait pris la vie du bon côté dès le début en déclarant il y a dix jours en visioconférence, face aux nombreux journalistes intéressés par son cas particulier, qu'«au moins elle n’aurait pas à souffrir du jet-lag», vu le temps écoulé entre son arrivée en Chine et sa compétition.
(ATS)