Geraint Thomas a déjà remporté plusieurs grandes courses en cyclisme. En mai dernier, il a terminé à la deuxième place du Giro d'Italia. En outre, le Gallois s'est fait un nom grâce à son humour et à son autodérision.
En même temps, il se laisse parfois aller avec son cercle d'amis pendant ses loisirs, comme il l'a avoué au «Times»: «Je crois que j'ai été ivre 12 nuits sur 14 au cours des deux dernières semaines. Depuis que je suis revenu à Cardiff, c'est la folie.» En revanche, le vainqueur du Tour de France 2018 précise ne pas boire d'alcool durant la saison, tout au plus un verre de temps en temps.
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Il attribue la consommation d'alcool de ces derniers jours à sa mentalité britannique et australienne – «une culture qui consiste à sortir et à se saouler quand on est jeune». Le Gallois constate néanmoins un comportement plus modéré en matière de boisson chez ses jeunes coéquipiers. Il observe que toutes les mesures en matière de physique sont prises et que l'on y travaille pendant douze mois. Geraint Thomas est tout à fait différent. Pour lui, l'alcool fait partie de sa vie sociale.
Un contrat qui court encore pendant un an
Pendant la préparation de la saison, il se comporte toutefois de manière aussi professionnelle que ses concurrents. Et il a également suivi des changements dans ses habitudes alimentaires: «Ces deux dernières années, cela a vraiment changé. Je n'ai plus aussi faim et je mange moins. Quand tu roules, ton métabolisme fonctionne et tu ne fais que brûler du poids. C'est la nouvelle façon de penser et ça a marché.»
Il poursuivra ce mode de vie pendant encore au moins un an. Ensuite, son contrat avec l'équipe Ineos Grenadiers aura expiré.