Le pass sanitaire dans le monde
Trois italiens sur quatre sont favorables au «green pass»

Environ trois Italiens sur quatre sont favorables à l'utilisation du pass sanitaire et à son extension plus large pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, selon un sondage publié dimanche par le quotidien La Stampa.
Publié: 07.09.2021 à 13:50 heures
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Dernière mise à jour: 08.09.2021 à 11:54 heures
Contrôle du pass sanitaire dans une des gares de Rome.
Photo: DUKAS

En Italie, depuis le 1er septembre, le «green pass», initialement obligatoire seulement pour le personnel sanitaire, a été étendu au personnel enseignant, ainsi qu'aux passagers des trains longue distance, navires, avions et bus. Le chef du gouvernement Mario Draghi compte étendre son utilisation à d'autres secteurs.

Manifestation en France

Quelque 140'000 personnes, dont environ 18'000 à Paris, ont manifesté samedi contre le pass sanitaire dans diverses villes de France, pour le huitième samedi consécutif, une mobilisation en baisse, selon le ministère français de l'Intérieur.

Le ministère a comptabilisé 215 rassemblements, dont cinq à Paris.

Selon une étude Odoxa Backbone consulting, publiée jeudi par le quotidien Le Figaro, les deux tiers des Français approuvent le pass sanitaire.

Polynésie française

Face à la vague épidémique, la Polynésie s'est fixé l'objectif de vacciner 70% de sa population, après les débuts poussifs de sa campagne d'injections. L'archipel en est à un peu plus de 50% de primo-vaccinés et à un peu plus de 40% de personnes complètement vaccinées.

Depuis début août, le territoire, qui avait été relativement épargné jusque-là, a connu une véritable flambée de cas en très peu de temps.

Plus de 4,56 millions de morts

La pandémie a fait plus de 4,56 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 220 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l'AFP dimanche à la mi-journée.

Les Etats-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (648'121), devant le Brésil (583'362) et l'Inde (440'533).

L'OMS estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

(ATS)

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