Le Washington Post ne donne pas de détail supplémentaire et indique que ses sources n’ont pas révélé de quel pays il s’agissait.
Le 8 août, la police fédérale américaine (FBI) avait perquisitionné Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, et saisi des cartons de documents confidentiels, que le républicain n’avait pas rendus après avoir quitté la Maison-Blanche, malgré de multiples demandes.
Quelques jours après la perquisition, le Washington Post avait assuré que le FBI était à la recherche de documents liés à des armes nucléaires.
18 documents «top secret» saisis
Depuis cette opération de police spectaculaire et inédite pour un ancien chef d’Etat américain, Donald Trump, qui envisage ouvertement de se représenter à la présidentielle de 2024, tempête contre un acte qu’il juge «illégal et inconstitutionnel». Il répète avoir été visé pour des raisons politiques.
Lundi, une juge a tranché en sa faveur et ordonné qu’un expert indépendant soit nommé pour passer en revue les documents saisis le 8 août. Cette décision interdit temporairement aux enquêteurs fédéraux de les utiliser dans le cadre de leur enquête pénale.
Parmi les textes saisis lors de l’opération policière figurent 18 documents classés «top secret», plus de 50 «secrets» et 31 «confidentiels».
(ATS)