Après des semaines de spéculations sur l'état de santé de la princesse Kate, de nouvelles informations à propos de la famille royale sont sorties le 19 mars. Des collaborateurs de la London Clinic auraient tenté d'accéder illégalement au dossier médical de la princesse de Galles. L'épouse du prince William avait été opérée de l'abdomen en janvier dans cette clinique.
Le roi Charles III avait également été traité dans la même clinique privée pour sa prostate en janvier. Des inquiétudes se sont vite créées concernant les données médicales privées du monarque, atteint d'un cancer. Ses données ont-elles été également compromises? Apparemment, cela ne serait pas le cas, selon les déclarations du média «The Mirror» le 20 mars.
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La London Clinic rassure concernant le roi Charles
La London Clinic aurait informé le palais de Buckingham quant à la prétendue violation de la protection des données autour de la princesse Kate. L'incident fait actuellement l'objet d'une enquête. Cependant, le vol «ne concernait pas le monarque», comme l'ont confirmé des sources au journal britannique.
Le «Mirror» a ensuite annoncé que «jusqu'à trois personnes» pourraient avoir été impliquées dans l'accès présumé aux dossiers médicaux de la princesse de Galles, et que l'incident se serait produit après la sortie de Kate le 29 janvier.
Enquête ouverte
Plus tôt dans la journée, Al Russell, le PDG de la London Clinic, avait déclaré dans un communiqué officiel que «toutes les mesures d'enquête, de réglementation et de discipline appropriées seraient prises» pour enquêter sur les allégations. Il a en outre souligné que l'hôpital disposait de systèmes de surveillance de l'utilisation des données des patients, comme l'a rapporté le «Daily Mail».
L'Information Commissioner's Office (ICO), l'autorité de surveillance britannique indépendante pour la protection des données et la liberté d'information, aurait également confirmé à CNN qu'elle avait reçu un rapport sur une violation de la protection des données et qu'elle examinait les informations fournies. Selon le «Mirror», Scotland Yard, la police criminelle de Londres, a également été invitée à ouvrir une enquête immédiate.