Cette ouverture concernerait les magasins d'une petite taille, qui n'emploient qu'un nombre limité de collaborateurs et dont l'assortiment est celui d'une épicerie, détaille le Valaisan. Il est admis aujourd'hui qu'un certain nombre de commerces sont ouverts les dimanches et que les consommateurs peuvent s'approvisionner facilement dans les gares, les stations-service, les aéroports et dans les régions touristiques.
Or certaines régions suburbaines ne disposent d'aucune de ces infrastructures. Il est difficilement justifiable de refuser un commerce dominical aux habitants de villages sous prétexte qu'ils ne bénéficient ni d'une station-service, ni d'une gare, ou vivent dans une zone qui n'est pas jugée touristique, a fait valoir M. Nantermod.
(ATS)