Dans tous les cas, la condition est que l’injection de la deuxième dose remonte à au moins six mois, indique mardi l'institut suisse des produits thérapeutiques dans un communiqué.
Swissmedic a notamment pris cette décision sur la base d’une étude regroupant 10'000 participants âgés de 16 à 87 ans. Les résultats intermédiaires de cette étude n’ont mis en évidence aucun élément indiquant l’existence de nouveaux aspects relatifs aux risques du vaccin, explique-t-il.
Swissmedic «continue de surveiller très étroitement les bénéfices et risques du vaccin» pour la prévention de la maladie à coronavirus en Suisse et dans le reste du monde.
L'autorité d'autorisation et de surveillance des produits thérapeutiques avait donné son feu vert à une troisième dose pour les vaccins à ARN-messager à la fin octobre. Cette dose «booster» a été autorisée pour Biontech/Pfizer et Moderna. Cette décision concernait les «personnes particulièrement vulnérables» et les «personnes avec un système immunitaire affaibli» dès 12 ans.
(ATS)