Les rumeurs se confirment: l'un des enfants de Vladimir Poutine et de sa prétendue maîtresse, Alina Kabaeva, serait bien né en Suisse – au Tessin.
C'est ce que rapportait la «Sonntagszeitung» dimanche. Selon le journal, l'enfant aurait été mis au monde à la Clinica Sant'Anna de Lugano, par une médecin suisse. Cette même gynécologue aurait aussi assisté, en 2019 à Moscou, à la naissance d'un autre enfant du couple.
La multiple championne olympique et championne du monde de gymnastique rythmique est considérée comme la maîtresse de longue date du dirigeant russe. Selon les tabloïds, elle aurait eu jusqu'à quatre enfants avec l'homme fort du Kremlin. L'on lui attribue également au moins deux longs séjours en Suisse, à Lugano (TI) puis à Cologny (GE).
«Une autre relation aurait été trop dangereuse pour elle»
En termes de sources, la «Sonntagszeitung» évoque une personne «qui connaît personnellement Alina Kabaeva». Cette même personne serait également «très proche» de la gynécologue suisse qui a assisté aux accouchements de 2015 et 2019. En 2015, la presse spéculait déjà sur la présence de Poutine au Tessin à la suite de la naissance d'un enfant hors mariage.
Mais pourquoi, parmi les 195 États du monde, la championne olympique et le maître du Kremlin ont-ils choisi le Tessin? «Il fallait que toute cette affaire reste très discrète», explique la source à la «Sonntagszeitung». Et de poursuivre: «La relation d'Alina avec Poutine a existé. Les deux fils accouchés par la doctoresse suisse sont bien les enfants de Poutine. Alina n’avait pas d’autre relation, cela aurait d’ailleurs été trop dangereux pour elle.»
Dans la villa du médecin ou à l'hôtel
Selon le rapport obtenu par le journal, la maîtresse de Poutine se serait rendue plusieurs fois à Lugano pour des examens de routine pendant les deux grossesses en question. Pendant ces séjours, Kabaeva aurait vécu soit dans la villa de la doctoresse, dans la banlieue chic de Lugano, à Collina d'Oro, soit à l'hôtel Principe Leopoldo, situé à proximité.
Alina Kabaeva est décrite par cette même source comme une «femme très agréable». C'est «une vraie sportive, très droite, sans faux-semblants». Elle serait venue avec sa mère et sa sœur, mais sans gardes du corps.
Quant à la gynécologue, le rapport indique qu'elle aurait immigré de Russie en Suisse il y a plus de 30 ans maintenant. Elle aurait connu Poutine dans sa jeunesse, à Saint-Pétersbourg. Une fois arrivée en Suisse, en aurait abandonné son nom de jeune fille russe, et pris la nationalité helvétique. Ces informations n'ont pas pu être vérifiées de manière indépendante. Et, comme pour tout ce qui relève de la vie privée très bien gardée du chef du Kremlin, elles sont à prendre au conditionnel.