Réunie devant les médias à Berne, «l'Alliance pour un approvisionnement en électricité sûr», qui réunit 110 parlementaires et de nombreuses organisations économiques et environnementales, a relevé que la loi n'entraînera pas de frais supplémentaires pour la population.
Elle doit permettre de «développer rapidement des énergies renouvelables qui respectent le paysage et l'environnement». Selon ses partisans, le texte «promeut le développement du courant indigène, renforce la production en hiver, protège la nature ainsi que le paysage et stabilise les prix de l’électricité».
L'Alliance estime que seules les énergies renouvelables indigènes sont susceptibles de couvrir les besoins croissants en électricité.
La loi est combattue par un référendum de la Fondation Weber.