«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
Pour retrouver les autres «10 questions à» déjà publiés, c'est par ici.
«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
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Si tu devais décrire ton parcours sportif en trois mots, lesquels choisirais-tu?
Persévérance, courage et hargne. Déjà, car je n'ai jamais lâché – même s'il y a quelques fois où j'ai loupé une qualification de peu. J'ai continué de m'entraîner. Ensuite, j'ai eu le courage de partir de ma famille pas mal de fois, d'essayer de m'entraîner ailleurs. Que ce soit au Tessin ou en Suède. Et j'ai la hargne, de ne jamais avoir lâché, d'avoir toujours continué à croire en mes rêves.
Quel est le premier souvenir que tu as de ton sport?
Je n'ai pas vraiment de souvenirs quand je nageais au Plan-les-Ouates natation. Mon premier grand souvenir, c'est ma 4e place aux JO juniors en 2014. Je me souviens avoir eu la médaille de chocolat pour deux centièmes.
Quel a été le moment le plus mémorable de ta carrière sportive jusqu'à présent?
Lors des JO 2021, on avait fait un gros relais. J'avais en plus fait mon meilleur temps, ce qui était extraordinaire pour moi.
Quelle est ta première pensée quand tu te réveilles le matin avant une compétition?
Ça dépend si j'ai préparé la compétition ou pas (rires). Si ce n'est pas le cas, je sais que ça va être dur. Mais il y a toujours de l'excitation. Je me réjouis, d'y aller et de performer.
As-tu une superstition, un rituel ou une habitude bizarre avant une compétition?
Non, pas plus que ça. Je suis un peu ennuyant comme type (rires). Allez, j'ai quelque chose à l'entraînement. Sur les 5 derniers mètres de la séance, je ne respire pas et je tape toujours de la main gauche. Mais pas en compétition.
Quelle est la chose la plus étrange que tu vas mettre dans ta valise avant de partir pour les JO?
Attends, j'ai ma valise sous les yeux… Je vais prendre un jeu de cartes Brändi Dog, pour ceux qui connaissent.
Si tu pouvais donner un conseil à un jeune athlète qui rêve de participer aux Jeux olympiques, quel serait-il?
Je voudrais lui dire de s'éclater, de profiter chaque jour des Jeux. Il faut vraiment profiter de chaque minute.
Quel est ton endroit préféré dans ton canton et pourquoi?
J'aime aller au stade de la Praille, pour y voir jouer Servette.
Si tu pouvais participer à une épreuve complètement différente de la tienne aux Jeux olympiques, laquelle choisirais-tu et pourquoi?
Je pense que je ferais du tennis. Je ne suis pas mauvais et j'en ai fait quand j'étais jeune.
Quelle est la chose la plus surprenante que les gens ne savent pas sur toi?
Je suis gaga de mon chien, Ricotta. C'est un Cavalier King Charles.