1. Les meilleurs compteurs ont le maillot à croix blanche
Malgré le renoncement de Roman Josi et en partant du principe que Kevin Fiala fera le déplacement de la Finlande (ce n'est pas encore acquis), la Suisse débarquerait à Helsinki avec trois des quatre meilleurs compteurs de NHL présents au Championnat du monde. Cela peut évidemment évoluer, mais pour l'heure, seul le Tchèque Tomas Hertl (San Jose) vient briser l'hégémonie suisse. C'est dire à quel point Patrick Fischer a de l'or dans les mains.
Championnat du monde 2022, Groupe A.
Samedi 14 mai. Suisse - Italie 5-2.
Dimanche 15 mai. Danemark - Suisse 0-6.
Mardi 17 mai. Suisse - Kazakhstan 3-2.
Mercredi 18 mai. Suisse - Slovaquie 5-3.
Samedi 21 mai. Canada - Suisse 3-6.
Dimanche 22 mai. Suisse - France 5-2.
Mardi 24 mai, 11h20. Allemagne - Suisse
Les équipes classées aux quatre premières places de ce groupe sont qualifiées pour les quarts de finale face aux quatre meilleurs formations du Groupe A.
Tous les matches sont à retrouver en live sur le site de Blick.
Championnat du monde 2022, Groupe A.
Samedi 14 mai. Suisse - Italie 5-2.
Dimanche 15 mai. Danemark - Suisse 0-6.
Mardi 17 mai. Suisse - Kazakhstan 3-2.
Mercredi 18 mai. Suisse - Slovaquie 5-3.
Samedi 21 mai. Canada - Suisse 3-6.
Dimanche 22 mai. Suisse - France 5-2.
Mardi 24 mai, 11h20. Allemagne - Suisse
Les équipes classées aux quatre premières places de ce groupe sont qualifiées pour les quarts de finale face aux quatre meilleurs formations du Groupe A.
Tous les matches sont à retrouver en live sur le site de Blick.
2. L'absence de la Russie
Un autre point n'est pas à négliger. La Suisse est dans un groupe qui a perdu de sa substance avec l'exclusion de la Russie. Sans la Sbornaja, les joueurs helvétiques font figure de favoris à l'une des deux premières places de leur poule, en compagnie du Canada et de l'Allemagne. En évitant la Suède, la Finlande et la République tchèque, la Suisse pourrait avoir un chemin plus dégagé en quarts de finale avec un adversaire moins huppé. Ce qui serait un sérieux avantage.
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3. C'est une année olympique
Certaines équipes mettent beaucoup plus l'emphase sur les joutes olympiques que sur le Championnat du monde une année sur quatre. Cela tombe bien, c'est le cas en 2022. Les meilleurs joueurs présents en Chine seront-ils prêts à se rendre également en Finlande? La Suisse peut compter sur tout son monde hormis Josi, Hofmann et Andrighetto, qui ont renoncé. On ne peut pas en dire autant des autres formations. D'ailleurs, la dernière fois que la Suisse a atteint la finale, c'était en 2018, quelques mois après les JO de Pyeongchang.
4. Un Canada prenable
Le champion du monde en titre figure dans le groupe de la Suisse. Et c'est plutôt une bonne nouvelle, car il n'y a pas pléthore de vedettes de NHL dans ce Canada-ci. Outre Dubois, déjà évoqué plus haut, Barzal (NY Islanders) entre également dans cette catégorie. Il ne faut pas oublier Batherson (Ottawa). Les jeunes Sillinger (Columbus) et Cozens (Buffalo) sont également très prometteurs, à respectivement 18 et 21 ans. Mais si l'on ajoute au contingent qui n'a rien de bien clinquant un trio de gardiens pas franchement dominant, il y a de quoi se dire que le Canada n'est de loin pas favori à ce titre.
Reste désormais à assumer ce statut de très sérieux outsider. Un costume que les Suisses n'ont pas l'habitude de porter.
Retrouvez le match Suisse-Italie ce samedi 14 mai à 15h20, en live sur blick.ch/fr