Depuis le 10 octobre 2012, «Shaq» a toujours célébré son anniversaire avec la Nati, à l’exception de 2019. Ce dimanche matin également, l’équipe et les membres du staff célèbrent l’anniversaire du capitaine après le match de qualification pour la Coupe du monde contre l’Irlande du Nord, dans un hôtel situé à côté du Stade de Genève.
À l’approche de son 30e anniversaire, le numéro 23 de la Nati annonce en souriant: «J’avais déjà le 3 sur mon dos».
Que signifie ce cap? «On vieillit un peu, mais je n’ai pas encore de cheveux blancs, déclare Shaqiri. En ce qui concerne le football, je suis dans la fleur de l’âge. Je vais continuer à donner le meilleur de moi-même dans les prochaines années.»
«Le temps passe très vite»
Revenant sur ses anniversaires à la Nati, le feu follet de l’Olympique lyonnais affirme: «Je fête mon anniversaire presque tous les ans ici, dans le cercle de la Nati. Le temps passe très vite. Tout à coup, je suis l’un des plus anciens, même si je n’en ai pas du tout l’impression.»
Pour son 21e anniversaire, son premier avec la Nati, Blick lui avait offert un gâteau aux framboises. Lorsqu’on lui demande quel goût avait ce gâteau d’anniversaire, Shaq, qui avait déjà à l’époque sept matches de Bundesliga avec le Bayern Munich dans les jambes, déchante: «Il n’était pas très bon. Ce n’est pas vraiment la période des framboises en automne…»
Lors de ses anniversaires, Xherdan Shaqiri a parfois dû enfiler ses crampons. C’étaient lors du match de qualification à la Coupe du monde au Portugal en 2017 (défaite 2-0) et en Ligue des Nations, face à l’Espagne l’année dernière (défaite 1-0). Au stade Alfredo di Stefano de Madrid, le Lyonnais avait fêté son retour avec la Nati, le jour de son 29e anniversaire, après seize mois d’absence.
«Un maillot de Ronaldo»
Mais quel est le meilleur cadeau que Shaqiri a reçu jusqu’à présent? Le Bâlois ne doit pas y réfléchir par deux fois: «C’était un maillot de Ronaldo après la Coupe du monde 1998». L’attaquant brésilien est victime d’un malaise encore inexpliqué l’après-midi précédant la finale de la Coupe du monde contre la France. Il est inexistant lors de la rencontre perdue 3-0 face au pays hôte. Pour les enfants de cette époque, comme le petit Xherdan, Ronaldo reste le plus grand. Aussi car quatre ans plus tard, il marque les deux buts de la finale de la Coupe du monde contre l’Allemagne (2-0).
Denis Zakaria, coéquipier à la Nati:
«Shaq est un gars cool. Nous sommes heureux de l'avoir dans notre équipe, il est important pour nous. Je lui souhaite un bon anniversaire. Trente ans n'est qu'un chiffre, il est encore jeune. Nous le célébrerons tous ensemble.»
Yann Sommer, coéquipier à la Nati:
«Je connais Shaq depuis que j'ai 16 ans. Nous avons beaucoup de souvenirs communs, en tant que juniors au FC Bâle, dans la première équipe et avec la Nati. C'est un super gars avec une grande carrière. C'est un atout incroyable pour notre équipe nationale, il a beaucoup de qualité et de créativité. C'est un sournois. Bonne chance à Shaq pour l'avenir.»
Steven Zuber, coéquipier à la Nati:
«Shaq est facile à vivre, spontané et possède un excellent pied gauche. C'est un vaurien sur et en dehors du terrain. Quand il joue au football comme ça, on s'amuse tous beaucoup avec lui. Je lui souhaite un bon anniversaire.»
Thorsten Fink, ancien entraîneur au FC Bâle:
«Je me souviens qu'il m'a rejoint dans l'équipe première à 17 ans et que le FC Bâle m'a dit que Xherdan était probablement trop petit pour l'ancien entraîneur... Dès le début, Xherdan était un effronté, un rusé, mais dans un sens positif. Il m'a beaucoup apporté, j'ai apprécié mon travail également grâce à lui. C'est fou comme ça date, Xherdan va avoir 30 ans. Je lui souhaite le meilleur et j'espère qu'il a encore de nombreuses années devant lui.»
Werner Mogg, ancien entraîneur des jeunes au FC Bâle:
«Je le vois encore aujourd'hui, le coquin qui essayait de repousser les limites de temps en temps. Mais il n'était jamais mauvais, au contraire. Il était toujours drôle, positif, avait toujours le sourire aux lèvres, n'était jamais vindicatif, même s'il fallait parfois lui hurler un peu dessus. Sur le terrain, il était tout aussi imprévisible à l'époque qu'aujourd'hui. Parfois presque trop ludique. Mais cette façon de jouer était en lui et n'a pas changé jusqu'à aujourd'hui.»
Denis Zakaria, coéquipier à la Nati:
«Shaq est un gars cool. Nous sommes heureux de l'avoir dans notre équipe, il est important pour nous. Je lui souhaite un bon anniversaire. Trente ans n'est qu'un chiffre, il est encore jeune. Nous le célébrerons tous ensemble.»
Yann Sommer, coéquipier à la Nati:
«Je connais Shaq depuis que j'ai 16 ans. Nous avons beaucoup de souvenirs communs, en tant que juniors au FC Bâle, dans la première équipe et avec la Nati. C'est un super gars avec une grande carrière. C'est un atout incroyable pour notre équipe nationale, il a beaucoup de qualité et de créativité. C'est un sournois. Bonne chance à Shaq pour l'avenir.»
Steven Zuber, coéquipier à la Nati:
«Shaq est facile à vivre, spontané et possède un excellent pied gauche. C'est un vaurien sur et en dehors du terrain. Quand il joue au football comme ça, on s'amuse tous beaucoup avec lui. Je lui souhaite un bon anniversaire.»
Thorsten Fink, ancien entraîneur au FC Bâle:
«Je me souviens qu'il m'a rejoint dans l'équipe première à 17 ans et que le FC Bâle m'a dit que Xherdan était probablement trop petit pour l'ancien entraîneur... Dès le début, Xherdan était un effronté, un rusé, mais dans un sens positif. Il m'a beaucoup apporté, j'ai apprécié mon travail également grâce à lui. C'est fou comme ça date, Xherdan va avoir 30 ans. Je lui souhaite le meilleur et j'espère qu'il a encore de nombreuses années devant lui.»
Werner Mogg, ancien entraîneur des jeunes au FC Bâle:
«Je le vois encore aujourd'hui, le coquin qui essayait de repousser les limites de temps en temps. Mais il n'était jamais mauvais, au contraire. Il était toujours drôle, positif, avait toujours le sourire aux lèvres, n'était jamais vindicatif, même s'il fallait parfois lui hurler un peu dessus. Sur le terrain, il était tout aussi imprévisible à l'époque qu'aujourd'hui. Parfois presque trop ludique. Mais cette façon de jouer était en lui et n'a pas changé jusqu'à aujourd'hui.»
Le club des 100
Le joueur de l’OL pourrait avoir quelque chose à fêter à nouveau dès la mi-novembre: lors du dernier match de qualification pour la Coupe du monde contre la Bulgarie, Shaq sera invité à rejoindre le club des joueurs ayant atteint 100 sélections avec la Nati. Seuls quatre personnes, Heinz Hermann (118 sélections), Alain Geiger (112), Stephan Lichtsteiner (108) et Stéphane Chapuisat (103), en sont membres.