Cette maladie liée au système du complément est à l'origine d'affections chroniques, voire de défaillances rénales, souligne le groupe.
Le communiqué diffusé lundi fait par contre l'impasse sur l'ampleur de la réduction de la présence de protéines dans l'urine des patients traités avec l'iptacopan, par rapport à ceux sous placebo.
Le traitement expérimental fait déjà l'objet de procédures d'homologation contre l'hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et de programmes cliniques de phase III contre la glomérulopathie à dépôts de C3, le syndrome hémolytique et urémique atypique, ainsi que la glomérulonéphrite membranoproliférative.
Novartis entend sur la base des résultats de l'étude Applause-Igan requérir auprès de l'agence sanitaire des Etats-Unis (FDA) une demande d'homologation accélérée dans le courant de l'année prochaine.
(ATS)