«Les mesures drastiques» prises face au coronavirus ont «mis en lumière» les menaces potentielles pour les droits fondamentaux, notamment pour les minorités et les plus vulnérables, a-t-elle estimé devant les autres pays membres. Mais la situation des droits humains en Suisse «est relativement favorable».
Comme tous les quatre ans environ, la délégation suisse est auditionnée devant le Conseil. Elle va être exposée pendant plusieurs heures aux reproches et demandes. Livia Leu a parlé d'un «moment fort pour les droits humains en Suisse».
Elle a admis que des améliorations sont possibles face à la discrimination raciale, question sur laquelle la Suisse est régulièrement ciblée. Elle a aussi expliqué les préparatifs pour l'Institution nationale des droits de l'homme, attendue pour mai prochain.
(ATS)