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Les manifestantes étaient libres de s'habiller comme elles le désiraient.
Photo: SALVATORE DI NOLFI
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Les manifestantes étaient libres de s'habiller comme elles le désiraient.
Photo: SALVATORE DI NOLFI
La manifestation était organisée par le collectif «Engageons les Murs». Outre la culture du viol, cette association condamne aussi toute forme d'oppression sexiste, de classes, liée au physique, à l'origine ou à la religion. Cette marche «s'inscrit dans une perspective intersectionnelle».
En défilant, les personnes qui se sentent discriminées peuvent se réapproprier la rue, un espace qui se révèle «hostile, surtout pour les minorités de genre», souligne le collectif. Avant de s'élancer sur le bitume, les manifestantes ont lancé un grand cri, une façon, pour elles, d'extérioriser leur «rage» et leur «souffrance.»
(ATS)