L'UNIL «ne peut autoriser plus longtemps l'installation jour et nuit du collectif», écrit-elle. Elle se dit prête à mettre à disposition «un espace» permettant de continuer cette action, à condition que le collectif reste composé uniquement de membres de l'UNIL.
En réponse à la principale revendication des étudiants, le boycott des institutions universitaires israéliennes, l'UNIL répond par la négative. Elle explique que ses collaborations en cours ne contreviennent pas à sa mission, à savoir notamment «la transmission de savoirs fondés sur des méthodes critiques et rigoureuses, la confrontation des idées, la réflexion éthique et le respect de la déontologie scientifique».
Le collectif étudiant doit désormais prendre position. Une conférence de presse est prévue lundi à 21h00.
(ATS)