Les initiants saluent le fait que le Parlement ait intégré l'un de leurs objectifs principaux dans son projet adopté fin septembre, à savoir la stabilisation de l'utilisation du sol à l'extérieur des zones à bâtir, indiquent-ils jeudi dans un communiqué.
Ils estiment toutefois que la loi comporte quelques nouvelles exceptions qu'ils voient d'un œil critique, notamment les «zones spéciales» où des constructions seront possibles. Le comité insiste sur le fait que les cantons ne puissent désigner de telles zones que si la biodiversité, la culture du bâti et le paysage en profitent aussi.
Déposée en 2020, l'initiative voulait inscrire dans la Constitution l'objectif d'une stabilisation des surfaces construites hors des zones à bâtir. La LAT2 reprend le but général de l'initiative populaire.
(ATS)