Le chef du groupe paramilitaire connu sous le nom de code de «Wagner» a récemment fait des déclarations en accusant l'armée régulière russe d'avoir mené des frappes sur les camps de ses combattants situés à l'arrière du front ukrainien. Selon lui, ces frappes auraient entraîné un «très grand nombre de victimes». Ces allégations soulèvent de graves préoccupations quant à la situation dans la région et mettent en lumière les tensions croissantes entre les forces russes et les groupes paramilitaires opérant sur le terrain. L'impact humain de ces frappes présumées est encore inconnu, mais il est clair que de telles actions peuvent avoir des conséquences dévastatrices pour les combattants et les civils impliqués dans le conflit en cours. Il est essentiel que ces allégations fassent l'objet d'une enquête approfondie et transparente afin de clarifier les faits et d'établir la vérité sur ce qui s'est réellement passé sur le terrain.
«Ils ont mené des frappes, des frappes de missiles, sur nos camps à l'arrière. Un très grand nombre de nos combattants ont été tués», a affirmé Evguéni Prigojine dans un message audio diffusé par son service de presse, en promettant de «répondre» à ces attaques ordonnées selon lui par le ministre russe de la Défense.
(ATS)
