«Lorsqu’il est question de performance, les dix derniers pour cent ne se puisent que dans la force mentale.» Cette phrase ne vient pas d’un sportif de haut niveau, mais de Martin Erlacher, le délégué technique de SwissSkills. Le poste de Martin Erlacher s’apparente pour ainsi dire à celui d’un sélectionneur en football, mais pour les WorldSkills, qui débuteront mardi soir à Lyon.
45 jeunes représenteront la Suisse et notre système de formation professionnelle aux WorldSkills 2024 à Lyon.
UBS participe pleinement à toutes les plateformes SwissSkills qui ont pour objectif de promouvoir l’excellence des métiers en Suisse. Le soutien apporté à notre équipe nationale professionnelle fait partie intégrante de cet engagement. Les membres de l’équipe bénéficient d’un accompagnement précieux dans leur préparation aux championnats internationaux et mettent en avant la compétitivité du système de formation suisse à l’échelle mondiale.
Ringier est le partenaire média officiel de SwissSkills.
45 jeunes représenteront la Suisse et notre système de formation professionnelle aux WorldSkills 2024 à Lyon.
UBS participe pleinement à toutes les plateformes SwissSkills qui ont pour objectif de promouvoir l’excellence des métiers en Suisse. Le soutien apporté à notre équipe nationale professionnelle fait partie intégrante de cet engagement. Les membres de l’équipe bénéficient d’un accompagnement précieux dans leur préparation aux championnats internationaux et mettent en avant la compétitivité du système de formation suisse à l’échelle mondiale.
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Il sait précisément à quoi s’attendre lorsque les 45 talents suisses s’affronteront dans 41 métiers en vue de remporter des médailles – avec leur esprit, leur cœur et une bonne dose d’esprit de compétition. Lors de cette coupe du monde des métiers, comme dans le sport, il n’y a pas que le mental qui est important, mais aussi la cohésion d’équipe.
Une cohésion qui vaut de l’or
Les 45 participantes et participants ainsi que leur staff se sont préparés à l’occasion de divers camps. Ils sont devenus un groupe soudé qui se félicite après une bonne journée à Lyon et qui se relève à l’unisson après un coup dur. Le dernier camp de préparation à Nottwil (LU) a été le théâtre d’une scène symbolique: «Ce fut un moment fort lorsque j’ai demandé à l’équipe: «est-ce que nous sommes une famille?» et que tout le monde m’a répondu «Oui!» en cœur» déclare Martin Erlacher. Une chose est sûre: dans l’équipe, personne ne se bat seul.
C’est presque une habitude désormais: un mois et demi après les Jeux olympiques à Paris, c’est au tour des WorldSkills d’avoir lieu en France. Et comme à Paris, la Suisse compte bien repartir avec des médailles. La barre est haute cette année pour les 45 talents suisses au vu des résultats des précédentes éditions. Il y a des attentes, beaucoup d’attentes. Dans un communiqué de presse datant d’un mois avant les WorldSkills, un objectif a été clairement formulé: être à nouveau la meilleure nation européenne. La Suisse entre dans la compétition avec un nombre record de participantes et participants. «Nous n’avons jamais été autant avec une palette aussi vaste de compétences», déclare Martin Erlacher avec confiance.
A seulement deux heures de chez nous, Lyon prend des airs de fan zone suisse – ce qui annonce la venue de beaucoup de supporters. «Il y a un grand soutien sur place», ajoute Martin Erlacher. Les familles, les amis, les supérieurs et les collègues sont de la partie. On attend même des personnalités issues du monde politique et des affaires. Pour rappel: en 2017, les WorldSkills se sont déroulés à Abou Dabi, en 2019 à Kazan en Russie – Shanghai aurait dû suivre, mais la compétition a été annulée en raison de la pandémie. Il y a eu d’autres compétitions du même ordre, mais les WorldSkills à proprement parler? Il n’y en a plus eu depuis cinq ans – et ils sont de retour pratiquement à notre porte.
Mais c’est précisément pour cette raison que la scène de Lyon s’accompagne non seulement d’opportunités, mais aussi de risques. La proximité avec la Suisse signifie certes beaucoup de supporters, mais aussi d’énormes attentes. «Quand on se retrouve tout à coup face à autant de personnes, on peut perdre pied», explique Martin Erlacher. Pour pallier cela, l'equipe a beaucoup travaillé sur la focalisation – plus d’entraînement, plus de préparation mentale. La situation exige la plus grande concentration et ce sont justement les derniers mètres, pour ainsi dire, qui sont les plus difficiles. Comme le souligne Martin Erlacher: «Tout se joue dans la tête.»
Les WorldSkills commenceront mardi soir avec une grande cérémonie d’ouverture. De mercredi à samedi, les participantes et participants s’affronteront dans leurs métiers respectifs pour venir à bout des tâches imposées. Dimanche, le spectacle se terminera par la cérémonie de clôture, au cours de laquelle les médailles seront décernées.
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio
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