Une banque croit en une start-up zurichoise innovante

Le succès des abonnements automobiles

En fondant leur start-up, Carify, les deux jeunes entrepreneurs Sergio Studer et Rafael Fiechter s’étaient fixé un objectif ambitieux: réaliser des bénéfices en quatre ans seulement. Rapidement, il leur est apparu que pour atteindre ce but, il leur fallait un partenaire performant. C’est là qu’UBS est entrée en jeu: la banque leur a trouvé des investisseurs et octroyé un crédit de croissance.

S’abonner à une voiture plutôt que l’acheter

Avec Carify, Sergio Studer et Rafael Fiechter proposent un service de plus en plus plébiscité. Au lieu d’acheter une voiture, en leasing ou non, les clients souscrivent en ligne un abonnement automobile forfaitaire, c’est-à-dire à prix fixe, sans frais supplémentaires. «L’avantage de l’abonnement est la flexibilité, explique Sergio Studer. Contrairement au leasing, il permet de louer un véhicule pour quelques semaines ou pour quelques mois seulement.»

Carify compte aujourd’hui plusieurs milliers d’abonnés. À l’inverse de la plupart de ses concurrents, Carify ne possède aucun véhicule. La start-up fait office d’intermédiaire: les véhicules proposés sur sa plateforme en ligne – plus de 1000 voitures – appartiennent à un réseau qui regroupe plus de 450 garages, importateurs et constructeurs automobiles. La jeune entreprise a développé des solutions d’abonnement spécifiques pour Porsche et BMW, que viendra bientôt rejoindre une troisième marque haut de gamme.

UBS soutient la jeune entreprise

Même si son modèle commercial requiert un capital inférieur à celui de ses concurrents disposant de leur propre flotte, la start-up, qui emploie 30 personnes, avait besoin de fonds supplémentaires pour poursuivre son développement. Les deux entrepreneurs ont trouvé le soutien nécessaire chez UBS, auprès d’une équipe de spécialistes du financement des jeunes entreprises. Depuis 2015, la banque intervient comme intermédiaire entre investisseurs et jeunes entreprises suisses innovantes en quête de capitaux. «Ainsi, nous mettons en relation les besoins de deux groupes de clients», explique Jan Lederhausen, spécialiste chez UBS.

Carify a attiré l’attention d’UBS en 2021, alors qu’elle était finaliste du prix le plus prestigieux décerné aux jeunes entrepreneurs en Suisse: celui du Swiss Economic Forum. «Nous avons bien entendu trouvé formidable qu’UBS nous contacte directement», se rappelle Sergio Studer.

Rester indépendant malgré l’arrivée d’investisseurs

UBS a permis à Carify de rencontrer des investisseurs. Et, au cours des réunions, la présentation de la start-up a fait mouche. «UBS nous a accompagnés durant tout le processus. Un représentant d’UBS a toujours été à nos côtés pendant les entretiens avec les investisseurs.» Lors de ce cycle de financement, le seul à ce jour, la start-up a levé «plus d’un demi-million de francs», une somme qui va lui permettre de poursuivre sa croissance vigoureuse. Sergio Studer et Rafael Fiechter tenaient absolument à conserver, avec leur personnel, la majorité dans l’entreprise: «Nous entendons décider nous-mêmes du développement de Carify.»

Comme l’indique Jan Lederhausen, diverses raisons ont poussé UBS à collaborer avec Carify en 2021. La start-up a connu une croissance rapide grâce à son équipe dynamique et à son esprit d’entreprise. Carify se distingue, en outre, par son modèle commercial à fort potentiel et son efficacité: Sergio Studer et Rafael Fiechter ont accompli beaucoup avec peu de capital. «Les investisseurs sont particulièrement attentifs à ce point», précise l’expert. Le renom des investisseurs et des partenaires commerciaux démontre, lui aussi, que le concept de l’entreprise est viable.

Et les choses ne se sont pas arrêtées là: «UBS nous a accordé une limite de crédit de plusieurs millions», se réjouit Sergio Studer. Avec deux avantages: «D’une part, l’entreprise n’est pas contrainte de faire appel à des investisseurs supplémentaires, ce qui diminuerait les parts des fondateurs dans le capital. D’autre part, le processus d’UBS est simple et rapide.» La start-up a ainsi pu garantir sa viabilité à de bonnes conditions. «Nous comptons disposer d’une assise financière intelligente en permanence. La limite de crédit nous permet d’investir dans notre croissance et celle de notre chiffre d’affaires sans être à court de liquidités.»

UBS a permis à Carify de rencontrer des investisseurs. Et, au cours des réunions, la présentation de la start-up a fait mouche. «UBS nous a accompagnés durant tout le processus. Un représentant d’UBS nous a toujours soutenus pendant les entretiens avec les investisseurs.» Lors de ce cycle de financement, le seul à ce jour, la start-up a réuni «plus d’un demi-million de francs», une somme grâce à laquelle elle peut poursuivre sa croissance vigoureuse. Sergio Studer et Raffael Fiechter tenaient absolument à garder, avec leur personnel, la majorité dans l’entreprise: «Nous entendons décider nous-mêmes du développement de Carify.»

Le réseau des entrepreneurs

UBS aide les entrepreneuses et les entrepreneurs non seulement par ses services financiers, mais aussi par son vaste réseau. Elle permet ainsi à sa clientèle d’accéder à des interlocuteurs internes et externes parfaitement au fait des défis commerciaux. UBS organise de nombreux événements nationaux et internationaux destinés à favoriser les échanges entre entrepreneurs. Par ailleurs, dans ses Growth Talks, la banque réunit des entrepreneuses et des entrepreneurs suisses charismatiques qui partagent leur savoir-faire et leur expertise. La page UBS.com/Impulse propose des éclairages intéressants et des conseils sur des sujets entrepreneuriaux. Les entrepreneurs peuvent obtenir des conseils au niveau commercial et privé.

UBS aide les entrepreneuses et les entrepreneurs non seulement par ses services financiers, mais aussi par son vaste réseau. Elle permet ainsi à sa clientèle d’accéder à des interlocuteurs internes et externes parfaitement au fait des défis commerciaux. UBS organise de nombreux événements nationaux et internationaux destinés à favoriser les échanges entre entrepreneurs. Par ailleurs, dans ses Growth Talks, la banque réunit des entrepreneuses et des entrepreneurs suisses charismatiques qui partagent leur savoir-faire et leur expertise. La page UBS.com/Impulse propose des éclairages intéressants et des conseils sur des sujets entrepreneuriaux. Les entrepreneurs peuvent obtenir des conseils au niveau commercial et privé.

Accéder au réseau

Comme l’indique Jan Lederhausen, divers motifs ont poussé UBS à collaborer avec Carify en 2021. La start-up a connu une croissance rapide grâce à son équipe dynamique et à son esprit d’entreprise. Carify se distingue, en outre, par son modèle commercial extensible et son efficacité: Sergio Studer et Raffael Fiechter ont accompli beaucoup avec peu de capital. «Les investisseurs sont particulièrement attentifs à ce point», précise l’expert. Le renom des investisseurs et des partenaires commerciaux prouve, lui aussi, que le concept de l’entreprise fonctionne. 

Et les choses ne se sont pas arrêtées là: «UBS nous a accordé une limite de crédit de plusieurs millions», se réjouit Sergio Studer. Avec deux avantages: «D’une part, l’entreprise n’est pas contrainte de faire appel à des investisseurs supplémentaires qui dilueraient sa propriété. D’autre part, le processus d’UBS est simple et rapide.» La start-up a ainsi pu garantir sa viabilité à de bonnes conditions. «Nous comptons disposer d’une assise financière intelligente en permanence. La limite de crédit nous permet d’investir dans notre croissance et celle de notre chiffre d’affaires sans manquer de liquidités.»

Une relation clientèle durable en ligne de mire

Mais pourquoi UBS offre-t-elle aux jeunes entrepreneurs un soutien qui va au-delà des activités bancaires traditionnelles? «Nous souhaitons établir des relations durables avec de jeunes entreprises triées sur le volet. Celles-ci y gagnent aussi: non seulement elles bénéficient de notre importante expertise financière, mais elles tirent également profit de notre réseau», confie Jan Lederhausen.

Mais revenons à Carify. La start-up table sur des bénéfices pour la fin de l’année. Et après? «En 2024 et en 2025, nous voulons continuer de croître de façon rentable et doubler notre chiffre d’affaires chaque année», explique Sergio Studer. L’accent reste mis sur le marché suisse. «Mais nous nous penchons aussi sur les marchés internationaux, pour voir s’ils pourraient être intéressants et avec quels partenaires. Si des occasions se présentent, nous les saisirons.»

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