L’alliance de la force et de la coordination. La conjugaison de la compétition, de la technique et de l’élégance. Le bateau tout en longueur glisse sur l’eau avec tant de légèreté qu’on le croirait presque en apesanteur. Pierre de Coubertin, le père des Jeux olympiques modernes, affirmait déjà: «L’aviron doit devenir le sport préféré de nos jeunes. Aucun autre sport ne leur transmet les valeurs physiques et morales dont ils ont besoin: énergie, esprit d’initiative, force et santé.»
L’aviron est le sport de Sofia Meakin. La Genevoise de 25 ans, née de père anglais et de mère italienne, fait partie des plus grands espoirs suisses. Lors des Championnats du monde de Belgrade en septembre, elle a pris le départ en double avec la lucernoise Salome Ulrich.
La jeune athlète s’entraîne environ 36 heures par semaine, réparties en trois unités par jour. Il n’y a que le dimanche qu’elle s’accorde une pause. «Actuellement, je vis à 100% pour le sport», explique la jeune étudiante à l’École hôtelière de Lausanne. Pour elle, l’aviron ne se résume pas à une simple question de force: «Il faut sentir le bateau, l’eau et sa coéquipière, mais aussi son propre corps.» Elle a toujours aimé les compétitions. Son ancienne passion, l’équitation, n’était cependant pas assez exigeante sur le plan physique. Lorsqu’elle parle de sa passion pour l’aviron, elle mentionne toujours le feeling: il est d’autant plus important qu’en aviron, on rame dos à la direction du bateau. «Du fait que nous ne voyons pas l’arrivée, le feeling est décisif.»
Barreuse en quatre de couple
En quatre de couple avec Lisa Lötscher, Fabienne Schweizer et Salome Ulrich, Sofia Meakin officie comme barreuse. C’est donc elle qui décide de la fréquence à laquelle les rames plongent dans l’eau. Et pourtant, ce n’est pas la passion de l’eau qui l’a amenée à l’aviron: «L’eau ne m’a jamais attirée», dit-elle en vidéo.
En tant que partenaire platine de l’Aide Sportive Suisse, Opel a constitué l’«Opel Team Suisse». Parmi ses membres: Elia Colombo (windsurf), Antonio Djakovic (natation), Leila Henry (BMX), Sofia Meakin (aviron) et Angelica Moser (saut à la perche). Leurs voitures sont munies soit de la signature de l’athlète gravée à l’intérieur, soit du nom de celui-ci sur le côté.
Si vous souhaitez encourager la relève de l’athlétisme suisse, sachez qu’en soutenant l’«Opel Team Suisse», vous contribuez à l’Aide Sportive Suisse sous forme de don. Les membres de l’Aide Sportive bénéficient par ailleurs de conditions avantageuses chez Opel: jusqu’au 31 décembre 2023, ils profitent d’un rabais spécial supplémentaire de 3% en plus des conditions existantes sur tous les modèles Opel.
En tant que partenaire platine de l’Aide Sportive Suisse, Opel a constitué l’«Opel Team Suisse». Parmi ses membres: Elia Colombo (windsurf), Antonio Djakovic (natation), Leila Henry (BMX), Sofia Meakin (aviron) et Angelica Moser (saut à la perche). Leurs voitures sont munies soit de la signature de l’athlète gravée à l’intérieur, soit du nom de celui-ci sur le côté.
Si vous souhaitez encourager la relève de l’athlétisme suisse, sachez qu’en soutenant l’«Opel Team Suisse», vous contribuez à l’Aide Sportive Suisse sous forme de don. Les membres de l’Aide Sportive bénéficient par ailleurs de conditions avantageuses chez Opel: jusqu’au 31 décembre 2023, ils profitent d’un rabais spécial supplémentaire de 3% en plus des conditions existantes sur tous les modèles Opel.
Elle navigue actuellement en deux de couple. La composition des équipes est au centre des préoccupations du centre d’entraînement de l’association, situé à Sarnen: «Notre grand objectif est que les six rameuses prennent le départ à Paris.» Elle part du principe qu’elle en fera partie: «Je me sens forte», déclare-t-elle, un sourire ravageur aux lèvres.
Fiabilité, force et coordination. Pour Sofia Meakin, ces qualités sont aussi essentielles pour une voiture: «L’alliance de ces caractéristiques permet d’arriver rapidement et en toute sécurité à destination.» Lorsqu’elle parle de son Opel Mokka, elle devient presque euphorique: «Depuis que j’ai cette voiture, j’économise beaucoup de temps et de stress.» Depuis Sarnen, elle est chez elle à Genève en trois heures et demie: «Bien entendu, je respecte les limites de vitesse.» Le grand coffre et l’habitacle spacieux (les sièges arrière peuvent être rabattus dans un rapport de 40:60, idéal pour charger son équipement) peut même accueillir les rames. Elle peut même transporter un bateau sur le toit.
Le trajet depuis la Suisse centrale jusqu’au lac Léman n’est pas un problème grâce à la technique de batterie de dernière génération: l’autonomie est de 374 km avec une seule charge. Et même si vous devez recharger en déplacement, la batterie atteint jusqu’à 80% d’autonomie par chargement rapide en 30 minutes.
Autre atout plutôt séduisant pour une sportive qui s’entraîne à un tel niveau: les sièges sont équipés d’une fonction massage, «ce qui me permet de me détendre en conduisant après l’entraînement.» Et le volant est chauffé électriquement. Plutôt utile, car une avironneuse doit aller sur l’eau même par mauvais temps.
«L’aviron est ma vie»
La jeune femme a pour objectif de participer aux Jeux olympiques de Paris en 2024. La voie qui y mène est difficile et parfois monotone. Les journées se suivent et se ressemblent: «S’entraîner, manger, dormir.» Si cela peut sembler ennuyeux, elle se défend: «L’aviron est actuellement ma vie. Et plus je travaille dur, plus la satisfaction est grande quand j’atteins un objectif.»
Les tests sur ergomètre du lundi représentent l’indicateur le plus important. Pendant 30 minutes, les sportives donnent tout. Les entraîneurs obtiennent ainsi de précieuses informations sur la forme de leurs athlètes. Sofia Meakin passe actuellement le plus clair de son temps à Sarnen.
Mais elle se sent vraiment chez elle au bord du lac Léman, au club d’aviron de Vésenaz. Elle est venue à l’aviron grâce à David, son frère jumeau: «Il a découvert cette discipline en Angleterre et m’a convaincue d’essayer.» Une expérience qui a changé sa vie: «J’ai tout de suite accroché. Au départ, ce sont surtout l’atmosphère du club et l’esprit d’équipe qui m’ont plu. Ma petite sœur Chiara s’y est mise elle aussi. Aujourd’hui, elle pratique l’aviron aux USA.»
L’aviron est donc bien plus qu’un sport pour la Genevoise. C’est une passion, un style de vie et le centre de son quotidien. Et son Opel Mokka l’aide à gérer son temps. «Nous formons une équipe parfaite», déclare-t-elle. Que ce soit avec les autres athlètes du centre d’aviron ou avec sa voiture.
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio