Cette année, le jour J tombait le 17 novembre. Comme le veut la tradition du beaujolais nouveau, les premières bouteilles du vin de l’année ont été débouchées le troisième jeudi du mois de novembre. Après le traditionnel défilé des tonneaux sur le pavé de la vieille ville de Lyon, le vin primeur est ouvert à la vente. L’heure est alors à la fête dans toute la France et les amateurs se retrouvent pour déguster le beaujolais nouveau. On sait par expérience qu’ils sont nombreux. Au-delà même des frontières françaises, cette date est inscrite en rouge sur l’agenda international du vin. Au Japon, par exemple, les inconditionnels cultivent une tradition à la fois excentrique et décadente: le bain collectif au beaujolais nouveau.
Aubaine et malédiction
Indéniablement, ces vins de fête gouleyants et leur marketing agressif attirent l’attention du monde entier sur la région viticole du Beaujolais, quelque peu oubliée le reste de l’année. Évoluant dans l’ombre du Bordelais et de la Bourgogne, le Beaujolais est également de plus en plus distancé par le Languedoc-Roussillon et la vallée du Rhône septentrionale et méridionale. Le déclin de la région entre Lyon et le Mâconnais (Bourgogne), autrefois si fière, a plusieurs raisons. Dans les années septante, les meilleures bouteilles pouvaient atteindre des prix similaires à des bourgognes réputés. Il ne fait aucun doute que les beuveries organisées autour de vins de soif jeunes et souvent ordinaires ont desservi la cause du Beaujolais. Et pourtant, la région vit une sorte de renaissance depuis quelque temps. On peut même parler d’un véritable engouement depuis que des producteurs importants de la Côte d’Or (Bourgogne) ont investi massivement dans la région.
Des crus complexes et abordables
Car il est vrai que le beaujolais a des atouts à faire valoir auprès des amoureux du vin et de la gastronomie. C’est ici, dans les 10 crus installés au sud de la petite ville bourguignonne de Mâcon, que l’on élabore les meilleurs gamays au monde. Alors qu’il n’est pas homologué pour entrer dans la composition des grands vins de Bourgogne, ce cépage produit ici des vins au charme inimitable. Les vins de l’appellation phare «Moulin-à-vent», en particulier, sont des alliés élégants, de garde et incroyablement polyvalents pour accompagner le repas. Il faut juste ne pas commettre l’erreur d’ouvrir ces bouteilles trop tôt. Car dans leur prime jeunesse, elles sont souvent fermées et ne déploient tout leur potentiel qu’après quelques années de vieillissement.
Si le vin peut être servi et vendu aussi tôt après la récolte, c’est grâce à une technique de production bien particulière. La «macération carbonique» est sans doute la méthode de production la plus ancienne pour le vin rouge. Une fois égrappées, les baies de raisins sont placées intactes dans une cuve et celle-ci est enrichie de CO2 par le bas afin d’éliminer toute trace d’oxygène. Après quelques jours en cuve fermée, il se produit une fermentation intracellulaire. Ce n’est qu’ensuite que le moût est pressé et fermenté après l’ajout de levures. Grâce à cette technique, on obtient, même avec des cépages riches en tanins et en colorants, des vins rouges beaucoup plus fruités qu’avec la macération classique.
Si le vin peut être servi et vendu aussi tôt après la récolte, c’est grâce à une technique de production bien particulière. La «macération carbonique» est sans doute la méthode de production la plus ancienne pour le vin rouge. Une fois égrappées, les baies de raisins sont placées intactes dans une cuve et celle-ci est enrichie de CO2 par le bas afin d’éliminer toute trace d’oxygène. Après quelques jours en cuve fermée, il se produit une fermentation intracellulaire. Ce n’est qu’ensuite que le moût est pressé et fermenté après l’ajout de levures. Grâce à cette technique, on obtient, même avec des cépages riches en tanins et en colorants, des vins rouges beaucoup plus fruités qu’avec la macération classique.
Vous trouverez dans le vaste assortiment de Coop les beaujolais nouveaux tout comme d’excellents crus. Et bien sûr une multitude d’autres vins en provenance de France, de Suisse ou d’ailleurs.
Voici les 4 vins que vous devriez essayer
Ce vin a tout d’une fête improvisée. Pensé pour vivre l’instant présent sans se prendre la tête. Le nez est engageant, avec des arômes doux de sirop de framboise, de banane aussi et de fruits exotiques. La bouche réserve une belle acidité, une structure légère et des tanins doux et veloutés. Ce vin est d’une souplesse phénoménale et se referme sur une finale de longueur moyenne. Buvez-le légèrement frais avec des amuse-bouches à l’apéritif, de la charcuterie ou simplement pour célébrer le plaisir de vivre.
Ce vin a tout d’une fête improvisée. Pensé pour vivre l’instant présent sans se prendre la tête. Le nez est engageant, avec des arômes doux de sirop de framboise, de banane aussi et de fruits exotiques. La bouche réserve une belle acidité, une structure légère et des tanins doux et veloutés. Ce vin est d’une souplesse phénoménale et se referme sur une finale de longueur moyenne. Buvez-le légèrement frais avec des amuse-bouches à l’apéritif, de la charcuterie ou simplement pour célébrer le plaisir de vivre.
Un beaujolais nouveau quelque peu hors classe. De prime abord très vif et gouleyant, il révèle très vite des arômes frais de prairie en fleurs ou de gelée de cerise qui viennent s’ajouter aux notes classiques de framboise et de banane. La bouche présente une acidité discrète, des tanins doux et une finale séduisante qui renforce la souplesse. Un vin sans complications à boire à l’apéritif ou sur une entrée légère.
Un beaujolais nouveau quelque peu hors classe. De prime abord très vif et gouleyant, il révèle très vite des arômes frais de prairie en fleurs ou de gelée de cerise qui viennent s’ajouter aux notes classiques de framboise et de banane. La bouche présente une acidité discrète, des tanins doux et une finale séduisante qui renforce la souplesse. Un vin sans complications à boire à l’apéritif ou sur une entrée légère.
Ce vin fait jeu égal avec un jeune pinot noir ou un Dôle de nos régions. Son nez est très aromatique, avec des notes de fraise, d’airelle et de cerise rouge. En bouche également, ce vin de culture biologique est une véritable explosion de fruits. Il impressionne par ailleurs par sa jolie structure acide, ses tanins à la fois souples, fondus et bien présents et une finale prolongée.
Ce vin fait jeu égal avec un jeune pinot noir ou un Dôle de nos régions. Son nez est très aromatique, avec des notes de fraise, d’airelle et de cerise rouge. En bouche également, ce vin de culture biologique est une véritable explosion de fruits. Il impressionne par ailleurs par sa jolie structure acide, ses tanins à la fois souples, fondus et bien présents et une finale prolongée.
Ce vin a sa place dans la cave de tous les amoureux du vin! Il faut chercher longtemps avant de trouver un rapport qualité/prix aussi sensationnel. Son nez libère un bouquet enivrant de fraises sauvages et de baies noires, associé à des notes boisées légèrement terreuses et merveilleusement intégrées. Le palais dénote une acidité tendue, une corpulence élégante mais puissante et une longue finale légèrement fumée. Vous pouvez déguster ce vin avec différents plats, il excellera par exemple avec une côte de porc ou un plat de pâtes généreux.
Ce vin a sa place dans la cave de tous les amoureux du vin! Il faut chercher longtemps avant de trouver un rapport qualité/prix aussi sensationnel. Son nez libère un bouquet enivrant de fraises sauvages et de baies noires, associé à des notes boisées légèrement terreuses et merveilleusement intégrées. Le palais dénote une acidité tendue, une corpulence élégante mais puissante et une longue finale légèrement fumée. Vous pouvez déguster ce vin avec différents plats, il excellera par exemple avec une côte de porc ou un plat de pâtes généreux.
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio
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