Marco Odermatt est un homme de l’extrême. Sur les pistes, il se donne à fond. Précision, vitesse… Il ne fait rien dans la demi-mesure. Mais qu’en est-il une fois que l’adrénaline est retombée? Comment vit-il son quotidien loin des caméras et des compétitions?
«Quand j’arrive à la maison, je commence toujours par m’occuper des tâches à faire», explique le champion olympique et double champion du monde. «Ça m’aide à me vider la tête.» Pour lui, vivre au quotidien, c’est s’occuper des petites choses. Et le soin du linge en fait partie. «Oui, bien sûr que je fais moi-même mes lessives», s’exclame-t-il. «Je ne vois pas qui d’autre pourrait s’en occuper.»
Un besoin de contrôle – aussi pour le soin du linge
Pour lui, les lessives ne sont pas une corvée, elles font tout simplement partie du quotidien. Elles lui donnent de la structure, tout comme les entraînements. «J’ai besoin que les choses soient ordonnées, c’est ce qui me met à l’aise», admet ouvertement ce sportif de haut niveau originaire du canton de Nidwald. Après des semaines de courses et d’entraînements, le lave-linge est un moyen de redescendre. «Il faut que ça aille vite pour que j’aie un maximum de temps pour moi.» Pour lui, la lessive est presque un moment méditatif. «C’est une tâche simple que je peux gérer moi-même, et qui m’aide à laisser retomber la pression.»
Cela ne veut pas dire que Marco fait tout à la maison. «Je préfère qu’on me prépare à manger que de laisser quelqu’un faire ma lessive», avoue-t-il en riant. «Ça m’est juste plus bénéfique.» Quand il est chez lui, Marco Odermatt cherche avant tout à se détendre. Les petites routines du quotidien l’aident à faire la transition entre la frénésie de la compétition et le retour à la normale. «Faire la lessive me donne un sentiment de normalité. J’aime faire les choses moi-même.»
Et quid de l’écologie? «J’essaie de laver mon linge de la manière la plus respectueuse de l’environnement possible», répond-il. «Je veille notamment à sélectionner des programmes économes en énergie, à utiliser de bonnes lessives et à ne pas laver trop chaud.» Odermatt ne laisse aucun détail au hasard. «C’est comme en sport: pour réussir, il faut maîtriser les bases.»
Une philosophie de vie que le vainqueur du classement général de la Coupe du monde applique également au quotidien. Même s’il dédie une grande part de sa concentration aux pistes, Odermatt n’est pas du genre à oublier ses responsabilités en dehors du sport. Que ce soit à l’entraînement, en compétition ou à la maison, le mot d’ordre est de savoir faire soi-même. «Je ne fais pas les choses à moitié. Quand j’ai pris une décision, je vais jusqu’au bout.»
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
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